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Art en général - - - Jacques Marx Au pays de l'idole Manipe : le Tibet du Père Athanase Kircher Images du Tibet dans La Chine illustrée (1670) d’Athanase Kircher.
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Reporticle : 327 Version : 1 Rédaction : 10/09/2020 Publication : 04/04/2022
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1Pour sa biographie, voir : Paula FINDLEN (éd.), test Athanasius Kircher. The Last Man who Knew Everything, London-New York, Routledge, 2004 ; Joscelyn Godwin, Athanasius Kircher. Le Théâtre du Monde, Paris, Imprimerie nationale 2009 ; Giunia TOTARO, L'Autobiographie d'Athanasius Kircher. L'écriture d'un jésuite entre vérité et invention. Au seuil de l'oeuvre, Berne, Peter Lang, 2009 ; John Edward FLETCHER, A Study of the Life and Works of Athanasius Kircher, 'Germanus Incredibilis' : With a Selection of His Unpublished Correspondence and an Annotated Translation of His Autobiography, Leiden, Brill, 2011.
2Adolf Reichwein, China and Europe. Intellectual and Artistic Contacts in the Eighteenth Century [1925], London, Routledge-Kegan, 1968, p. 19-20 ; Haun Saussy, « China illustrata. The Universe in a Cup of Tea », dans : Daniel Stolzenberg (éd.), The Great Art of Knowing. The Baroque Encyclopedia of Athanasius Kircher, Stanford University Libraries, 2002, p. 105-114.
3La Chine illustrée d’Athanase Kirchere de la Compagnie de Jésus, illustrée de plusieurs Monuments tant Sacrés que Profanes, et de quantité de Recherches de la Nature et de l’Art…, trad. F. S. Dalquie, Amsterdam, J. J. Jansson, E. Weyerstraet, 1670. Nous utilisons la traduction française : désormais CI.
4Hartmut Walravens, « Some Notes on Early Tibetan Studies in Europe », dans : Monica Esposito (éd.), Images of Tibet in the 19th and 20th Centuries, Paris, École française d’Extrême-Orient, 2008, t. 2, p. 149-176.
5La bibliographie desiderienne est abondante. On relèvera : Luciano Petech (ed.), Notizie della nature, costume e governo civile del Tibet, dans : I Missionari Italiani nel Tibet e nel Nepal, Il Nuovo Ramusio, Roma, Istituto Poligrafico dello Stato, 1952-1956, vol. 2; Leonard Zwilling (éd.), Mission to Tibet. The Extraordinary Eighteenth-Century Account of Father Ippolito Desideri S. J., Simon and Schuster, 2010; Trent Pomplun, Jesuit on the Roof of the Worls: Ippolito Deiideri’s Mission to Eighteenth-Century Tibet, New York, Oxford University Press, 2010.
6Voir : Chiara Bellini, Svelare il paese delle nevi. L’Alphabetum tibetanum di Agostino Antonio Giorgi. Uno studio preliminare, Pazzini Stampatore editore, 2011.
7Rudolf Kaschewsy, « The Image of Tibet in the West before the Nineteenth Century », dans : Thierry Dodin, Heinz Räther (éds.), Imagining Tibet : Perceptions, Projections and Fantasies, Boston, Widom Publications, 2001, p. 3-20, ici p. 18.
8David L. Snellgrove ; Hugh Richardson, A Cultural History of Tibet, Bangkok, Orchid Press, 2015, p. 80.
9« On les exhortera souvent à chercher en toutes choses notre Seigneur, arrachant, autant que possible, d’eux-mêmes l’amour de toutes les créatures, pour le placer dans leur Créateur… (Saint Ignace, Constitutions de la Compagnie de Jésus, trad. et notes par F. Courel, S. J., Paris, Desclée De Brouwer, 1966,§ 250, p. 90).
10Dans la Premiere Partie (« L’interprétation du Monument Syro-Chinois », chap. I-VI, p. 1-62).
11CI, p. 63-172 : Seconde partie (« Des divers chemins qu’on a tenu [sic] pour aller à la Chine », chap. 1-X).
12CI, p. 173-223 : Troisieme partie (« De l’Idolatrie venue d’Occident, et introduitte pemierement en Perse, dans l’Inde, et enfin dans les dernieres regions de l’Orient, comme la Tartarie, la Chine, et le Jappon dans la suite des temps », chap. I-VII).
13CI, p. 224-284 : Quatrieme Partie (« La Chine illustree des miracles de la Nature et de l’Art »).
14Édith Flamarion, « Jésuites de France théoriciens et praticiens de l’image : du XVIe au XVIIIe siècle. La Chair et le Verbe », dans : É. Flamarion (éd.), La Chair et le Verbe. Les jésuites de France au XVIIIe siècle et l’image, Paris, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2008, p. 9-44.
15A nna Haverkamp, « Fascinating Cultures Stained with Repulsive Misbelief », dans : Annemieke Klijn; Ernst Homburg (éds.), Encountering the Other. Travel Books on North-America, Japan and China from the Maastricht Jesuit Library, 1500-1900, Maastricht University, Marble Research Papers, 6 (2014), p. 199-220, ici p. 204. Ingrid Drake Rowland pense que ce choix a pu être influencé par les relations de Kircher avec Fabio Chigi, futur pape Alexandre VII (1599-1667), dont la politique religieuse cherchait à provoquer une réconciliation des catholiques et des protestants (The Ecstatic Journey. Athanasius Kircher in Baroque Rome, University of Chicago Press, 2000, p. 22-23).
16J. Godwin, Athanasius Kircher, op. cit., chap. 3, p. 47- 58.
17Sur les illustrations signées des livres de Kircher, voir J. Godwin, Athanasius Kircher, op. cit., p. 51-52.
18M. Mersenne, Correspondance, éd. A. de Beaulieu, Paris, CNRS, vol. 14, p. 534.
19Bolesław Szcześniak, « Athanasius Kircher’s China illustrata », Osiris, 10 (1952), p. 385-411, ici p. 410.
20The Search for the Perfect language, Oxford, Blackwell, 1995, p. 165.
21CI, p. 100.
22Michael Henss, The Cultural Monuments of Tibet, Munich-London, New York, Prestel [2014], vol. 1 (« The Central Tibetan province of Ü »), p. 136. Sur cette gravure et ses variantes, voir : Bruno Zimmel, « Johann Grueber in Lhasa. Ein Österreicher als erster Europaër in der Stadt des Dalai Lama », Biblos. Österreichische Zeitschrift für Buchwesen, II, 3-4 (1953), p. 127-145.
23Édith Flamarion, Jésuites de France théoriciens et praticiens de l’image, op. cit., p. 14.
24Pierre-Antoine Fabre, Ignace de Loyola. Le lieu de l’image. Le problème de la composition de lieu dans les pratiques spirituelles et artistiques jésuites de la seconde moitié du XVIe siècle, Paris, Vrin, 1992.
25CI, p. 182, col. 1.
26Sur ses errances interprétatives, voir : Précis du système hiéroglyphique des anciens Egyptiens, ou recherches sur les éléments premiers de cette écriture sacrée ... par M. Champollion le jeune, Paris, 1828, vol. 1, p. 436, et Jean Winand : « Un Frankenstein sémiotique : les hiéroglyphes d’Athanase Kircher », Signata. Annales des sémiotiques, 9 (2018), p. 213-251.
27Claudine Poulouin, « Athanase Kircher (1602-1680). Apologétique et crise de l’encyclopédisme », Littératures classiques, 49 (automne 2003, De la polygraphie au XVIIe siècle), p. 181-199.
28Paola von Wyss-Giacosa, « Investigating religion visually. On the role and significance of engravings in Athanasius Kircher’s discourse on Idolatry », Asdiwal. Revue genevoise d’anthropologie et d’histoire des religions, 7 (2012) p. 119-150, ici p. 135.
29Sur ces compléments, voir : Sonia Maffei, « Cartari e gli dèi del mondo. Il trattatello sulle Imagini de gli dei indiani di Lorenzo Pignoria », dans : S. Maffei (éd.), Cartari e le direzioni del Mito nel Cinquecento, Rome, Ginevra Bentivoglio Editoria, 2013, p. 62-119. Voir en particulier le manuscrit Codex Vat. Lat. 3738 de la Biblioteca apostolica Vaticana (« Il dio Homeyoca o ometeotl »), p. 107.
30Thomas Leinkauf, « Mundus combinatus und ars combinatoria als geistgeschichtlicher Hintergrund des Museum », dans : A. Grote (éd.), Macrocosmos in Microcosmo. Die Welt in der Stube. Zur Geschichte des Sammelns 1450 bis 1800, Opladen, 1994, p. 535-553 ; Eugenio Lo Sardo (éd.), Athanasius Kircher; il museo del mondo, Rome, De Luca, 2001 ; Nathalie Lallemand-Buyssens : « Les acquisitions d’Athanasius Kircher au musée du Collège romain à la lumière de documents inédits », Storia dell’Arte, 133 (oct.-déc. 2012), p. 107-129.
31Filippo Buonnani, Musaeum Kircherianum sive Musaeum a. P. Athanasio Kirchero in Collegio Romano Societatis Jesu, 1709.
32Ângela Barreto Xavier, Ines G. Županov, Catholic Orientalism: Portuguese Empire, Indian Knowledge, New Delhi, Oxford University Press, 2015.
33CI, 4 e part., chap. VII : « Des animaux extraordinaires et surprenants de la Chine », p. 257.
34CI, 4 e part., chap. VI, « Des plantes extraordinaires de la Chine », p. 243.
35CI, 5 e part, chap. 1, « Des ponts, et des autres prodigieuses fabriques de la Chine », p. 292.
36CI, p. 265.
37CI, 4 e part., chap. IV, « Des montagnes de la Chine, et des prodiges surprenants de la nature qu’on y voit », p. 233.
38Jurgis Baltrušaitis, Le Moyen Âge fantastique. Antiquités et exotismes dans l’art gothique, Paris, A. Colin, 1955, chap. V. « Ailes de chauve-souris et démons chinois », p. 215-217.
39CI, p. 93.
40CI, 2 e part., chap. IV, « Des diverses Coustumes, Mœurs, et habits que ces deux Peres Albert Dorville, et le P. Grubere ont observées, et depaintes en passant dans ces Royaumes », p. 93.
41Haun Saussy, China illustrata, op. cit., p. 107.
42On cite ici la traduction française : De la charlatanerie des savans, par Monsieur Menken, La Haye, J. Van Dueren, 1721, p. 85, n. 84.
43Yuval Givon, « A tale of Dynastic Change in China : The Ming-Qing Transition through Athanasius Kircher S. J.’ China illustrata (1667) », Archivium Historicum Societatis Iesu, LXXXVIII, 175 (2019-1), p. 49-101, ici p. 80. Sur les critiques adressées à Kircher, également venues du milieu protestant férocement anti-jésuite, voir Florence Hsia, « Athanasius Kircher’s China Illustrata. An Apologia Pro Vita Sua », dans : P. Findlen, Athanasius Kircher, op. cit., p. 383-404, ici p. 385.
44Marcia Reed, Paola Demattè, China on Paper. European and Chinese Works from the Late Sixteenth to the Early Nineteenth Century, Los Angeles, The Getty Research Institute, 2007.
45Dans le Devisement, op. cit., p. 85.
46Lettre du Père Desideri au Père Ildebrand Grassi « Sur le Tibet »,À Lhassa, le 10 avril 1716 (Lettres édifiantes et curieuses, éd. M.-L. Aimé-Martin, Paris, A. Pilon,1875, coll. Panthéon Littéraire, vol. 3, Missions de la Chine, p. 532).
47Jacques Philibert Rousselot de Surgy et al., Histoire générale des voyages …, Paris, Didot, 1749, t. 7, « Voyage d’Hippolyte Desideri au Tibet », p. 433.
48Chet Van Duzer, « Hic sunt dracones : The Geography and Cartography of Monsters », dans : Asa Mittman, Peter Dendle (éds)., The Ashgate Research Companion to Monsters and the Monstrous, Farnham-England and Burlington-VT, Ashgate Variorum, 2012, p. 387-435, ici p. 407. Voir aussi: Andrew Gow, « Gog and Magog on Mappaemundi and Early Printed World Maps : Orientalizing Ethnography in the Apocalyptic Tradition », Journal of Early Modern History, 2,1 (1998), p. 61-88.
49CI, Seconde partie. Des divers chemins qu’on a tenu pour aller à la Chine. VI. Le chemin de Marc Paul Venitien, et d’Haitone Armenien, pour venir à Cataye autrement la Chine, p. 117 et suiv.
50Marco Polo, Le Devisement du Monde, éd. René Kappler, Paris, Imprimerie nationale, 2004, p. 124-125.
51Ibid., p. 71, 74, 75 et 251.
52R. J. de Jong, Echoes in Eurasia: the name Tangut and the Xixia Tanguts in European medieval and early modern sources, ca. 1250-1750, Leiden, Brill, 2016.
53CI, p. 249.
54Allusions à la rhubarbe de « Succiu » dans le Devisement, op. cit., p. 75 et 148.
55Secundo volume delle navigationi e viaggi nel quale si contengono l’Historia delle cose de Tartari e diversi fatti de loro Imperatori, descritta da M. Marco Polo…Veneta, nella stamperia de Giunti, 1559, p. 14-15.
56George L. VAN DRIEM, The Tale of Tea: A Comprehensive History of Tea from Prehistoric Times to the Present Day, Leiden, Brill, 2019, p. 248.
57Devisement, op. cit., p. 70-71. Sur la traversée de ce désert par le voyageur vénitien, voir Philippe Ménard, « L’itinéraire de Marco Polo dans sa traversée de la Chine », Medioevo Romano, 26, 7, 3 (2002), p. 321-360.
58Par exemple : « De occulto orbis terrarum situ interrogasti et si tanta monstrorum essent genera credenda quanta in abditis mundi partibus per deserta et Oceani insulas et in ultimorum montium latebris nutrita monstrantur… » ( Pride and Prodigies. Studies in the Monsters of the « Beowulf » Manuscript, Andy Orchard ed., University of Toronto Press, 2033 [Cambridge, 1955]) : « Tu m’as interrogé sur les terres inconnues du monde et sur le crédit que l’on peut accorder à un si grand nombre de monstres, dont on dit qu’ils vivent dans les régions inconnues de la terre, dans les désert, les îles de l’Océan et les recoins des montagnes les plus éloignées… ». Trad. Claude Lecouteux, Les Monstres dans la pensée médiévale européenne, Presses de l’Université de Paris-Sorbonne, 3 éd., 1999, p. 37).
59« Démons et tambours au désert de Lop : variations Orient-Occident », Médiévales, 22-23 (1992), p. 91-115.
60Hérodote, Histoires, Ph.-E. Legrand (éd.), Paris, CUF, 1939, livre III, 102-104.
61De rebus in oriente Mirabilibus (Lettre de Farasmenes). Edition synoptique accompagnée d’une introduction et notes, Claude Lecouteux (éd.), Meisenheim am Glan, 1979.
62Das Land der Seideund Tibet im Lichte der Antike, Leipzig, К. F. Koehlers Antiquarium, 1938.
63Traditions tératologiques, ou récits de l’antiquité et du moyen âge en Occident, Paris, 1836, « De monstris et belluis Liber », pars altera (de Belluis), XV, Formicae aurum servantes, p. 259-267, ici p. 266.
64L’Or des fourmis. La découverte de l’Eldorado grec au Tibet, Paris, R. Laffont, 1984.
65« Alors un désert où ils eurent affaire à une armée de chiens, les Mongols arrivèrent au pays de Buru-thabet … » (Jean du Plan Carpin, Relation du voyage en Tartarie, traduite en français et publiée par Pierre Bergeron, 1580-1657, avec la notice de Marie-Armand d’Avezac sur les anciens voyages de Tartarie en général, et sur celui de Jean du Plan de Carpin en particulier, Librairies Arthus-Bertrand et Dondey-Dupré, Paris, 1838, p. 79).
66L’évocation du Tibet se trouve au chapitre XXXIV (« Les coutumes des rois et autres habitants des îles voisines de la Terre du Prêtre Jean et les honneurs rendus par le fils à son père mort »), p. 231-232.
67Voir Jane Casey Singer, Bijoux en or du Tibet et du Népal, Editions Olizane, 1996.
68Jean Richard, « Le christianisme dans l’Asie centrale », Journal of Asian History, 16, 2 (1982), p. 101-124, ici p. 108.
69Claude-Claire et René Kappler, Rubrouck.Voyage dans l’empire mongol, trad. Claude et René Kappler, Paris, Imprimerie nationale éditions, 1992, p. 133-134.
70William Woodville Rockhill, « On the use of skulls in lamaist ceremonies », Proccedings of the American Oriental Society, october 1888, p. 24-31 ; Berthold Laufer, Use of Human Skulls and Bones in Tibet, Chicago, Field Museum of Natural History, 1923, p. 9, cite même le cas d’un missionnaire français, le père Jean-Baptiste Brieux (1845-1881), des Missions étrangères de Paris, qui oeuvrait à Kanding sur les marches du Tibet, et dont les os, extraits du tombeau, furent réutilisés pour une coupe à libations.
71Robert Beer, The Handbook of Tibetan Buddhist Symbol, Serindia Publications, 2003, p. 111.
72Henri Cordier, Les Voyages en Asie au XIVe siècle du Bienheureux Frère Odoric de Pordennoe, religieux de Saint-François, Paris, E. Leroux, 1901, p. XXI ; Luciano Petech, « I Franciscani nell’Asia centrale e orientale nel XIII e XIV secolo », dans : Espansione del francescanesimo tra Occidente e Oriente nel secolo XIII. Atti del VI Convegno internazionale, Assisi, 1979, p. 213-240.
73H. Cordier ( Les Voyages en Asie, op. cit., p. XXIX), se fonde sur un passage de la relation d’Odoric, repris par Henry Yule, Cathay and the Way Thither: Being a Collection of Mediaeval Notices of China, London, Hakluyt Society, 1866 (nelle éd., 1915-1916, vol. 2, p. 10 et 248).
74Sven Hedin, « Early European Knowledge of Tibet », Geografiska Annaler, 1 (1919), p. 290-339, ici p. 298.
75« Was Odoric of Pordenone ever in Tibet », T’oung pao, 1914, t. XV, p. 405-418.
76Le Voyage en Asie d’Odoric de Pordenone traduit par Jean Le Long. Iteneraire de la Peregrinacion et du voyaige (1351), Alvise Andreose, Philippe Ménard (éds.), Genève, Droz, 2010, p. 216-217.
77Sur ce monastère, voir : Victor Chan, Tibet. Le Guide du pèlerin, Genève, Olizane [1994], 1998, p. 965-975.
78Azmi Wadia, « Evolution of the Towers of Silence and their Significance », dans : Pheroza J. Godrej, Firoza Punthakey Mistree, A Zoroastrian Tapestry :Art, religion and Culture, New York, Mapin Pub., Wappingers' Falls, 2002, p. 325-335.
79Le Voyage en Asie d’Odoric de Pordenone, op. cit., p. 57.
80Ibid., p. 58.
81Michael Taylor, Le Tibet de Marco Polo à Alexandra David-Neel, Fribourg, Office du Livre, 1985, p. 29 ; J. de Mandeville, Voyage autour de la Terre, Christiane Deluz (éd.), Paris, les Belles Lettres, 2004. L’évocation du Tibet se trouve au chapitre XXXIV (« Les coutumes des rois et autres habitants des îles voisines de la Terre du Prêtre Jean et les honneurs rendus par le fils à son père mort »), p. 231-232.
82J. de Mandeville, Voyage autour de la Terre, op. cit., p. 232.
83Notes on the Ethnology of Tibet based on the collection in the U. S. National Museum, Washington, Government Printing Office, 1895, p. 728.
84Le Devisement du Monde, op. cit., p. 68.
85Rudolf Löwenthal, « The Early Jews in China: A Supplementary Bibliography », Folklore Studies, 5 (1946), p. 353-398, ici p. 369.
86CI, chap. III, § 1 (« Le chemin qu’a tenu le père Benoit Göes de la Compagnie de Jesus pour aller en Cathaie… »), p. 85, col. 2.
87Louis Pfister, S. J., Notices biographiques et bibliographiques sur les jésuites de l’ancienne mission de Chine, 1552-1773, Chang-Hai, Impression de la mission catholique, 1932, t. 1, n° 27, p. 95-102 ; Joseph Brucker, « Benoît de Goès missionnaire voyageur dans l’Asie Centrale (1603-1607) », Etudes religieuses, philosophiques, historiques et littéraires, 1879, série 6, t. 3, p. 558-612 ; 678-695 ; Hugues Didier, Fantômes d’Islam et de Chine. Le voyage de Bento de Góis S. J. (1603-1607), Paris, Chandeigne, 2003 ; Philippe Lécrivain, « Cherchant le Cathay, il trouva le Ciel… Bento de Góis S. J. en Asie centrale (1602-1607) », Transversalités, 2012, 2 (n°122), p. 13-27.
88Sur son équipée tibétaine, voir Cornelius Wessels, S. J., Early Jesuit Travellers in Central Asia 1603-1721, The Hague, M. Nijhoff, 1924, chap. 3, p. 43-68 ; Hugues Didier, Les Portugais au Tibet. Les premières relations jésuites (1624-1635), Paris, Chandeigne, 2002. p. 29-139. Andrade est l’auteur de la relation Novo descobrimento do Gram Cathayo, ou Reinos deTibet, Lisboa, Mattheus Pinheiro, 1626 (rééd. O descrobrimento do Tibet, Francisco Esteves Pereira ed., Coimbra, 1921), dont il existe plusieurs traductions.
89Une dimension soulignée par Michèle Janin-Thivos, « Une initiation à la haute montagne. Les jésuites portugais sur le Toit du monde », Babel, 8 (2003), p. 11-36.
90Edward, Maclagan, The Jesuits and the Great Mogul, London, Burns Oates and Washbourne, 1932, chap. XIX, p. 335 et suiv.
91Matteo Ricci, Nicolas Trigault, Histoire de l’expédition chrétienne au royaume de la Chine, 1582-1610, Georges Bessière, J. Dehergne, Joseph Shih (éds.), Desclée De Brouwer, Bellarmin, 1978, livre 5, chap. 11, p. 592 et suiv.
92J. Michelle Molina, « True Lies. Athanase Kircher’s China illustrata and the Life Story of a Mexican Mystic », dans : P. Findlen, Athanasius Kircher, op. cit., p. 365-382, ici p. 368.
93Sur la mission jésuite dans l’empire moghol, voir Sir Denison Ross, Eileen Power, Jahangir and the Jesuits, with an Account of the Travels of Benedict Goes and the Mission to Pegu. From the relations of Father Fernāo Ferreiro, S. J., Broadway House, G. Routledge, 1930 (The Broadway Travellers) ; Edward Maclagan, The Jesuits and the Great Mogul, op. cit. ; Arnulf Camps, Jerome Xavier S J. and the Muslims of the Mogul Empire:  controversial works and missionary activity, Fribourg, Nouvelle revue de science missionnaire, 1957.
94Hugues Didier, « Antonio de Andrade à l’origine de la tibétophilie européenne », Aufsätze zur Portugiesiszchen Kulturgeschichte, 1988-1992, t. 20, p. 46-71.
95Deborah Klimburg-Salter (éd.), Discovering Tibet. The Tucci Expeditions and Tibetan Paintings, Torino, Skira, 2014, p. 45.
96Datée d’Agra, 8 novembre 1624, elle a été traduite en allemand par Jürgen C. Aschoff sur les originaux portugais ( Tsaparang Königstadt in Westtibet. Die vollständigen Berichte des Jesuitenpaters António de Andrade und eine Beschreibung vom heutigen Zustand der Klöster, München, MC Verlag, 1989, p. 35).
97H. Didier, Les Portugais au Tibet, op. cit., p. 49.
98Cité par Alain Milhou, « Découvertes et christianisation lointaine », dans : Jean-Marie Mayeur, Luce Petri, André Vauchez, Marc Venard (éds.), Histoire du christianisme des origines à nos jours, t. 7, Paris, Desclée De Brouwer, 1994, p. 521-616, ici p. 537.
99M. Taylor, Le Tibet de Marco Polo à Alexandra David-Neel, op. cit. ; Th. Dodin, H. Räther (éds.), Imagining Tibet, op. cit. ; Martin Brauen, Dreamworld Tibet. Western Illusions, Blangkok, Orchid Press, 2004.
100Yves Renouard, « L’infant Henri le Navigateur dans l’histoire de l’Occident », Revue d’histoire économique et sociale, 40, 1 (1962), p. 5-14
101Hugues Didier, Fantômes d’Islam et de Chine, op. cit., p. 39
102H. Didier observe que l’affirmation peut s’expliquer, étant donné que des musulmans, parmi lesquels des soufis, et Akbar lui-même se reconnaissaient comme « jésuites », c’est-à-dire dévots de Jésus-Christ, à l’intérieur même de la communauté musulmane (ibid., p. 13).
103Joseph Brucker, « Benoît de Goès missionnaire voyageur dans l’Asie Centrale (1603-1607) », Etudes religieuses, philosophiques, historiques et littéraires, 1879, série 6, t. 3, p. 597 (Lettre du 25 juillet 1598).
104Jean Richard, « L’Extrême-Orient légendaire au Moyen Âge : Roi David et Prêtre Jean », dans : Orient et Occident au Moyen Âge : contacts et relations (XIIe–XVe s.). A Collection of Essays by Jean Richard, Aldershot, Variorum Reprints, 1976, p. 225-242 ; Camille Rouxpetel, « La figure du Prêtre Jean : les mutations d’une prophétie. Souverain chrétien idéal, figure providentielle ou paradigme de l’orientalisme médiéval ? », Questes, 28 (2014), p. 99-120.
105Jean-Paul Roux, « La tolérance religieuse dans les Empires turco-mongols », Revue de l’histoire des religions, 203, 2 (1986), p. 131-168.
106Edwin Bernbaum,The Way to Shambhala : A Search for the Mythical Kingdom Beyond the Himalayas, New York, St. Martin’s Press 1980 (reprint : 1989).
107William Wright, Apocryphal Acts of the Apostles, London, Williams and Norgate, 1871, vol 1. Texte syriaque, vol. 2. Traduction anglaise des Actes, p. 238-245 ; A. F. J. Klijn, The Acts of Thomas. Introduction. Text. Commentary, Leiden, E. J. Brill, 1962.
108Arthur Christopher Moule, Christians in China before the year 1550, Londres, Society for Promoting Christian Knowledge, 1930, p. 12 et suiv. Voir aussi : Arnold H. Rowbotham, Missionary and Mandarin, University of California Press, Berkeley-Los Angeles, 1942, p. 3.
109Voir la longue notice du cardinal Tisserand sur l’église syro-malabare, dans le D. T. C., t. 14, 2, cols. 3090-3162 ; ainsi que Jaap Van Slageren, Les Chrétiens de saint Thomas. Histoire d’une église particulière (Kerala, Inde), Paris, Karthala, 2013.
110J ean-Marc Besse, « Historiae oculus geographia : cartographie et histoire dans le Parergon d’Ortelius », dans : Écrire l’histoire, 4 (2009), p. 137-146.
111« La premiere partie de la Chine illustrée d’Athanase Kirchere, et l’explication du monument d’un Syro-Chinois » (CI, p. 1-62).
112Sur Michel Boym, voir : Louis Pfister, Notices biographiques, n° 93, p. 269-276 ; R. Chabrié, Michel Boym, jésuite polonais, et la fin des Ming en Chine (1646-1662). Contribution à l’histoire des Missions d’Extrême-Orient, Paris, P. Bossuet, 1933 ; Paul Pelliot, « Michel Boym », T’oung Pao, vol. XXXI, 1, 2 (1934), p. 95-151.
113Sur cette polémique, voir : Michael Keevak, The Story of a Stele. China’s Nestorian Monument and its Reception in the West, 1625-1916, Hong Kong University Press, 2008 ; Jacques Marx, « La stèle de Xi’an dans la pensée des Lumières, ou les avatars d’une fraude pieuse », dans : Lumières sans frontières. Hommage à Roland Mortier et Raymond Trousson, Paris, Hermann, 2016, p. 331-352.
114Alex Raymond, « L’évangélisation de la Chine et des Mongols par l’église nestorienne », Chronos. Revue de l’université de Balamand, 12 (2005), p. 109-123.
115H. Louis Fader, The Issa Tale That Will Not Die: Nicholas Notovich and His Fraudulent Gospel, University Press of America, 2003 ; Bradley N. Rice, « The apocryphal tale of Jesus’ Journey to India: Nicolas Notovitch and the Life of Saint Issa revisited », dans : Tony Burke (ed.), Fakes, Forgeries, and Fictions : Writing Ancient and Modern Christian Apocrypha, Cascade Books, Eugene, Oregon, 2015, p. 265-284.
116M. Brauen, Dreamworld Tibet, op. cit., p. 39.
117L. Pfister, Notices biographiques, op. cit., t. 1, n° 119, p. 319-321.
118Ibid., n° 49, p. 162-182 ; Joseph Duhr, S. J., Un jésuite en Chine. Adam Schall, astronome et conseiller impérial (1592-1666), Bruxelles-Paris, Desclée de Brouwer, 1936 ; L. Carrington Goodrich, Dictionary of Ming Biography, 1368-1644, t. 2, p. 1153-1157 ; Alfons Väth, J. A. Schall von Bell S. J. Missionar in China, kaiserlicher Astronom und Ratgeber am Hofe von Peking, 1592- 1666, Nettetal, Steyler Verlag, 1991.
119CI, 2 e partie, p. 150, h. t.
120António da Silva Rego, Le Patronage portugais de l’Orient, Lisboa, Agência geral do Ultramar, 1957.
121L. Pfister, Notices biographiques, t. 1, n° 116, p. 314-315 ; H. Bosmans, S. J., « Documents sur Albert Dorville, de Bruxelles, missionnaire de la Compagnie de Jésus, au XVIIe siècle, et notamment sur les épisodes de son voyage vers Lisbonne et la Chine », Analectes pour servir à l’histoirer ecclésiastique de la Belgique, 3e série, t. VII, Louvain, 1911, p. 329-383
122L. Pfister, Notices biographiques, op. cit., t 1, n° 90, p. 256-262; Giorgio Melis (éd.), Martino Martini: geografo, cartografo, storico, teologo. Trento 1614- Hangzhou 1661. Atti del convegno internazionale, Trento, Museo Tridentino di Scienze Naturali,1983.
123Giulano Bertuccioli, « Sinology in Italy 1600-1950 », dans : Ming Wilson, John Cayley (eds.), Europe Studies China, London, Han-Shan Tang Books, 1995, p. 67-78, ici p. 69.
124Reproduction : Peter Van der Krogt (éd.), Atlas Maior of 1665, Joan Blaeu, Introduction and texts by Peter Van der Krogt, Köln, Taschen, [2005]. Voir aussi : Henri Bernard-Maître, « Les sources mongoles et chinoises de l’Atlas Martini (1655) », Monumenta Serica, 1947, p. 127-144 ; B. Szczésniak, « The Seventeenth Century Maps of China. An Inquiry into Compilations of European Cartographers », Imago Mundi, 13 (1956), p. 116-136 ; Massimo Quaini ; Michele Castelnovi, Visioni del Celeste Impero. L’immagine della Cina nella cartografia occidentale, Genova, Il Portolano, 2007.
125H. Bosmans, « Ferdinand Verbiest, S. J., Directeur de l’Observatoire de Peking, 1623-1688 », Revue des questions scientifiques, Bruxelles, 3e série, t. XXI, 1912, p. 195-273 et p. 375-464, ici p. 219.
126CI, chap. III, § 2, p. 88-90.
127H. Hosten, S. J., Jesuit Missionaries in Northern India and Inscriptions of their Tombs, Agra (1580-1803), Calcutta, 1907, p. 32-33 ; Henry Heras, « The Tomb of Father Albert d’Orville », Archivum Historicum Societatis Jesu, 2 (1933), p. 17-24.
128Bruno Zimmel, « P. Heinrich Roths S. J. Expedition nach Nepal », Jahrbuch des Historischen Vereins Dillingen an der Donau, 1968, p. 64-78 ; Arnulf Camps, « The Sanskrit Grammar and Manuscripts of Father Heinrich Roth S. J. (1620-1668). Introduction. The History of his Sanskrit Manuscript », dans : Arnulf Camps, Studies in Asian Mission History 1956-1998, Leiden-Boston-Köln, 2000, p. 84-104 ; Pierre-Sylvain Filliozat, « L’approche scientifique du sanscrit et de la pensée indienne par Heinrich Roth, S. J., au XVIIe siècle », dans : Pierre-Sylvain Filliozat ; Jean-Pierre Mahé, Jean Leclant (éds.), L’œuvre scientifique des missionnaires en Asie. Journée d’études organisée par l’Académie des inscriptions et belles-lettres et la Société asiatique (Palais de l’Institut de France, 9 janvier 2009), 2012, p. 17-30.
129Richard Tronnier, « Die Durchquerung Tibets seitens der Jesuiten J. Grueber und Albert de Dorville im Jahre 1661 », dans : Zeitschrift der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin, 39 (1904), p. 328-61 ; C. Wessels: Early Jesuit Travellers, op. cit., p. 164-204 ; et, du même, « New Documents relating to the Journey of Fr. Johann Grueber », dans : Archivum Historicum Societatis Jesu, 9 (1940), p. 281-304 ; L. Pfister, Notices biographiques, op. cit., p. 320 ; Clements R. Markham (ed.), Narratives of the mission of George Bogle to Tibet, and of Thomas Manning to Lhasa, London, Trübner and Co., 1876, p. 295-301 ; Bruno Zimmel, Johann Grueber in Lhasa, op. cit., Franz Baumann (éd.) Johannes Grueber: Als Kundschafter des Papstes nach China 1656-1664, Stuttgart Erdmann-Thienemanns, 1985 ; Philipp Caraman, Tibet. The Jesuit Century, Saint Louis, MO, Institute of Jesuit Sources, 1997.
130Ian Cameron, Mountains of the Gods. The Himalaya and the Mountains of Central Asia, London, century Publishing, 1984, p. 55.
131Wessels, Early Jesuits Travellers, op. cit., appendix IV, p. 337.
132CI, p. 150, pl. h. t.
133Ibid., p. 169.
134CI, p. 93, fig. 1.
135CI, p. 93, fig. III.
136CI, p. 95, fig. VII.
137CI, p. 95
138Ibid., p. 101.
139Ibid., p. 96, fig. IX.
140Ibid., p. 98, figs. XVII, XXI.
141Ibid., p. 99, figs. XIX, XX.
142Ibid., p. 96,fif. X.
143Ibid., p. 102, col. 1 et 2.
144Ibid., p. 103, col. 1.
145Philippe Paquet, L’ABC-daire du Tibet, Éditions Philippe Picquier, p. 252-257.
146Le Tibet révolté. Vers Népémakö, la terre promise des Tibétains, Paris, Hachette, 1912, p. 199.
147Three Years in Tibet, Madras, Adyar, The Theosophist Office, 1909, chap. LIX, p. 407 et suiv.
148CI, p. 94-95. Ce personnage est représenté sur une des gravures (CI, p. 97, fig. XIV).
149C. Markham, Narratives of the Mission of George Bogle, op. cit., chap. 1, p. 11.
150F. Hsia, Athanasius Kircher’s China Illustrata, op. cit., p. 398. Voir aussi, Joseph Masson, « La perspective missionnaire dans la spiritualité des Jésuites », dans :Les Jésuites : Spiritualité et activités, Paris, Beauchesne-Rome: Centrum Ignatianum., 1974, p. 135-154.
151CI, p. 285-301 : Cinquiesme partie (« De l’Architecture, et des autres arts mechaniques »).
152Edmond Lamalle, « La propagande du père Nicolas Trigault en faveur des missions de Chine », Archivum historicum Societatis Jesu, t. 9 (1940), p. 49-100.
153Épître aux Romains traduite de l’italien de M. le comte de Corbera (1772), dans Œuvres complètes de Voltaire, éd. Louis Moland, Paris, Garnier, 1877-1885, vol. 27, p. 95.
154Jacques Gernet, « La politique de conversion de Matteo Ricci en Chine », Archives de sciences sociales des religions, 36 (juillet-décembre 1973), p. 71-90 ; Jacques Marx, « La stratégie d’adaptation de Matteo Ricci et la mission de Chine », Le Figuier. Annales du centre interdisciplinaire d’étude des religions et de la laïcité de l’Université libre de Bruxelles, 2 (2008), p. 53-72.
155Daniel Stolzenberg, « Kircher among the Ruins: Esoteric Knowledge and Universal History », dans : Daniel Stolzenberg (ed.), The Great Art of Knowing, op. cit., p 127-139.
156CI, p. 190, h. t.
157Cathy Cantwell, Rob Mayer, « Representations of Padmasambhava in early post-Imperial Tibet », dans : Christoph Cüppers, Robert Mayer, Michael Walter (éds.), Tibet after Empire. Culture, Society and Religion between 850-1000. Proceedings of the Seminar Held in Lumbini, Nepal, March 2011, Lumbini International Research Institute, 2013, p. 19-50.
158Oedipus Aegyptiacus, hoc est universalis hieroglyphicae veterum doctrinae, temporum injuria abolitae, instauratio,Rome, Mascardi, 1652-1654, vol.1, p. 189.
159CI, 3 e part., chap. 2, p. 196.