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Peinture - Moyen Age - Belgique - Espagne - Histoire de l'art Amparo López Redondo Jérôme Bosch, son atelier et ses imitateurs dans la collection Lázaro Galdiano
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Reporticle : 230 Version : 1 Rédaction : 01/12/2017 Publication : 20/06/2018
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1Voir, sur la collection Cambó, Francisco José SÁNCHEZ CANTÓN, La colección Cambó, Barcelone, 1950.
3Voir, à ce sujet, José LÁZARO GALDIANO (éd.), La colección Lázaro, de Madrid, Madrid, 1926-1927, I, pp. 17-18.
4Lettre de José Lázaro à Paula Florido, 2 juillet 1921. Archives Lázaro Florido, L28 C 32-8.
5Henri KERVYN de LETTENHOVE (et alii), Les chefs-d’œuvre d’Art ancien à l’exposition de la Toison d’Or à Bruges en 1907, Bruxelles, 1908 (I.04316 dans la bibliothèque MLG).
6Georges HULIN DE LOO, Bruges 1902. Exposition de tableaux flamands des XIVe, XVe et XVIe siècles. Catalogue critique précédé d’une introduction sur l’identité de certains maîtres anonymes, Gand, 1902 (I.09172 dans la bibliothèque MLG).
7Lettre de José Lázaro à Paula Florido, 10 juillet 1913. Archives Lázaro Florido, L28 C 14-1.
8Il s’agit de l’exposition universelle de Gand, qui eut lieu du 26 avril au 3 novembre 1913.
9Lettre de José Lázaro à Paula Florido, 7 octobre 1920. Archives Lázaro Florido, L28 C 17-3.
10L’Adoration des Mages de Jean Gossaert fut présentée pour la première fois à la National Gallery le 1er septembre 1911.
11Lettre de José Lázaro à Paula Florido, 18 septembre 1911. Archives Lázaro Florido, L28 C 12-5.
12Lettre de José Lázaro à Paula Florido. Archives Lázaro Florido, L28 C 32-7.
13Outre les ouvrages des érudits modernes, Lázaro possédait également dans sa bibliothèque une traduction de Van Mander et une édition des Comentarios de Felipe de Guevara. Voir Henri HYMANS (éd.), Le livre des Peintres de Carel van Mander (…). Traduction, notes et commentaires, Paris, 1885 ; Antonio PONZ, Comentarios de la Pintura que escribio Felipe de Guevara (…), Madrid, 1778.
14Voir, à ce propos, la lettre qu’envoya Max Friedländer à Lázaro au sujet de plusieurs œuvres de sa collection. La lettre est uniquement connue dans sa traduction espagnole. Archives Lázaro Florido, L 15 C 17-7 (1/2).
15 « L’art, contrairement à la mode, gagne chaque année en valeur, surtout pour moi qui pense que ces objets m’ont apporté tant de bonheur, tout en m’éduquant et en affinant mon goût », écrit Lázaro à son épouse dans une lettre. Archives Lázaro Florido, L 28 C 28, 1. Voir aussi, à ce propos, Amparo LÓPEZ REDONDO, Coleccionar para educar el gusto : José Lázaro Galdiano, dans : Espacio, Tiempo y Forma. Serie VII : Historia del Arte, 20-21, 2007-2008, pp. 301-314.
16 « Ce matin, je me suis levé à 8 heures et après avoir pris un café, je me suis rendu au musée [il s’agit du British Museum] où je suis resté jusqu’à 18 heures, sans prendre la moindre nourriture, mais heureux de voir autant de merveilles ». Archives Lázaro Florido, L 28 C 33-8.
17Voir, sur Jérôme Bosch comme artiste national espagnol ou catalan, Didier MARTENS, Une réception en trois lieux : échos artistiques et littéraires d’un triptyque de Jérôme Bosch entre Venise, Palma de Majorque et Bruges, dans : Matèria. Revista internacional d’Art, 10-11, 2016, pp. 176-178.
18Voir, sur cet inventaire, Francisco José SÁNCHEZ CANTÓN, Libros, tapices y cuadros que coleccionó Isabel la Católica, Madrid, 1950.
19Voir, sur la vente de la collection, Miguel Ángel ZALAMA, La infructuosa venta en almoneda de las pinturas de Isabel la Católica, dans : Boletín del Seminario de Estudios de Arte y Arqueología, 74, 2008, pp. 45-66.
20Voir, pour cette hypothèse, Pilar SILVA MAROTO, Bosch and his work, dans : Bosch. The 5th Centenary Exhibition (cat. d’exp.), Madrid, Museo Nacional del Prado, 2016, pp. 36-37.
21Le document est conservé aux Archives départementales du Nord, Série B, 2185, fol. 230v. Voir Alexandre PINCHART, Archives des Arts, des Sciences et des Lettres : Jérôme Bosch ou Van Aeken – Tableaux à ajouter à la liste de ses œuvres, dans : Messager des Sciences historiques, ou Archives des Arts et de la Bibliographie de Belgique, 26, 1858, pp. 157-168.
22Pour certains auteurs, ce Jugement dernier est celui conservé aujourd’hui à l’Académie des Beaux-Arts de Vienne. Pour Pilar Silva, en revanche, cette identification doit être rejetée car les dimensions mentionnées dans le contrat diffèrent de celles du triptyque de Vienne. Voir Pilar SILVA MAROTO, Bosch and his work, dans : Bosch. The 5th Centenary Exhibition (cat. d’exp.), Madrid, Museo Nacional del Prado, 2016, pp. 34-36.
23Voir, à ce sujet, Elena VÁZQUEZ DUEÑAS, El Bosco en las fuentes españolas, Madrid, 2016, pp. 26-37.
24Fray José De SIGÜENZA, Historia de la Orden de San Jeronimo, Discurso XVII, cité par Elena VÁZQUEZ DUEÑAS, El Bosco en las fuentes españolas, Madrid, 2016, p. 144.
25Le CODART est un réseau de conservateurs et de restaurateurs d’art flamand et hollandais qui compte plus de 600 membres.
26Congrès international Bosch al país de l’art, organisé à l’Universitat de Barcelona par Rosa Alcoy en avril 2016. Voir la publication des actes dans Matèria. Revista internacional d’Art, 10-11, 2016.
27Congrès international El Bosco en España, organisé à la Fundación Carlos de Amberes par Elena Vázquez Dueña en novembre-décembre 2016.
28L’étude technologique et la restauration de la Vision de Tondal ont été confiées à l’IPCE, celles de la Dérision du Christ au Prado.
29Archives Lázaro Florido, L 17 C 21-2. Voir aussi L 10 C 2-5, lettre dans laquelle le même Luis Triana propose à Lázaro une œuvre de Jan van Kessel pour 8.000 pesetas.
30Voir, à ce sujet, María Pilar SILVA MAROTO, El coleccionismo en el reinado de Alfonso XIII : la colección real, Madrid, 1998 ; Frederic MARÈS, El mundo fascinante del coleccionismo y de las antigüedades. Memorias de la vida de un coleccionista, Barcelone, 2000 ; Amparo LÓPEZ REDONDO, Aproximación a una colección pionera : Las pinturas sobre tabla de José Lázaro, dans : Obras Maestras de la Colección Lázaro, Madrid, 2002-2003, pp. 51-62.
31Lettre de Cristina de Arteaga, Archives de Parque Florido, Legajo 37, C 7 1-3.
32Manuel GÓMEZ MORENO, Catálogo monumental de España. Provincia de Salamanca, Madrid, 1967, p. 288 : « Répétition de l’Ecce Homo de Bosch, dont l’original est à l’Escorial et un autre exemplaire se trouve à Valence. Les figures se détachent à mi-corps et grandeur nature sur fond or, dans un cercle de 1,55 m de diamètre. Les écoinçons aux angles contiennent, en grisaille, de petits groupes d’anges en lutte contre des diables, très intéressants. Panneau : 1,38 x 1,61 m. L’oeuvre a été amenée il y a quelques années de Bilbao et a appartenu à la famille d’une religieuse de ce couvent ».
33Max J. FRIEDLÄNDER, Die altniederländische Malerei, I-XIV, Berlin/ Leyde, 1924-1937. Lázaro possédait au moins les sept premiers volumes de cet ouvrage (I.07890 à I.07896 dans la bibliothèque MLG).
34Archives Lázaro Florido, L 15 C 17-7 (1 et 2).
35Paul LAFOND, Hieronymus Bosch, son art, son influence, ses disciples, Bruxelles, 1914. En revanche, l’auteur reproduit la Vision de Tondal entre les pp. 30-31.
36Archives Lázaro Florido, L 10 C 10-1, L 9 C 40-5, L 6 C 25-3, L 15 C 21-5 et 6, L 39 C 34-4, L 40 C 14-1,2,3,4,8 et 9, L 7 C 26-6, L 17 C 27-2 et 4, L 9 C 39-5.
37August L. MAYER, Ein unbekanntes Bild der Bosch-Werkstatt, dans : Der Kuntwanderer, 1, 1919-1920, p. 244 : « eine kleine Tafel [...], die Hieronynus Bosch ausserordentlich nahe steht ». « Das einzige, was davon abhält, dieses köstliche Bild Bosch selbst zu geben, ist die Wiedergabe des Laubwerkes der Bäume mit den zahlreichen Lichttupfen. Kein Zweifel kann aber bestehen, dass das Werk in die nächste Nähe des holländischen Meisters zu setzen ist ».
38Max J. FRIEDLÄNDER, Die altniederländische Malerei V. Geertgen van Haarlem und Hieronymus Bosch, Berlin, 1927, p. 151 : « Bemerkenswerte Komposition, sicherlich von Bosch. Über die Ausführung kann ich nicht urteilen, da ich nur die Abbildung kenne ». Voir aussi p. 160 : « B (?) Johannes der Täufer ».
39José LÁZARO GALDIANO, La colección Lázaro, de Madrid, Madrid, 1926-1927, I, n° 432.
40Voir Jeroen Bosch. Noord-Nederlandsche Primitieven (cat. d’exp.), Rotterdam, Museum Boymans, 1936, n° 54 : « Treffend door de originele compositie ». « Dit meesterwerk is hier voor het eerst tentoongesteld ».
41Archives Comisión administradora de la Herencia de Lázaro Galdiano (CAHLG), C 3-1 à 3, 8 et 9.
42Charles de TOLNAY, Hieronymus Bosch, Bâle, 1937, p. 38.
43Archives Comisión administradora de la Herencia de Lázaro Galdiano (CAHLG), L 3 C 3.
44María Dolores FUSTER SABATER, Estudio técnico y tratamiento de restauración aplicado al San Juan Bautista en el desierto de Jeronimus Bosch – El Bosco, dans : Goya, 1997, n°s 253-254, pp. 77-86.
45On peut consulter les images sur le Visor interactivo de la obra Meditaciones de san Juan Bautista, en ligne http://boscointeractivo.es/.
46Charles de TOLNAY, Hieronymus Bosch, Bâle, 1937, p. 38.
47Ludwig VON BALDASS, Hieronymus Bosch, Vienne, 1943, p. 67.
48Wilhelm FRAENGER, Hieronymus Bosch, Dresde, 1975, p. 234.
49Michel WEEMANS, notice, dans : Fables du paysage flamand. Bosch, Bles, Brueghel, Bril (cat. d’exp.), Lille, Palais des Beaux-Arts, 2012-2013, n° 5.
50Eduardo BARBA GÓMEZ, Botánica del detalle. Flora en la pintura flamenca antigua del Museo Lázaro Galdiano, dans : Tablas flamencas de los siglos XV y XVI del Museo Lázaro Galdiano (cat. d’exp.), Madrid, Museo Lázaro Galdiano, 2016-2017, pp. 62-66.
51Voir, à ce propos, Luis PEÑALVER ALHAMBRA, Los monstruos del Bosco, Valladolid, 1999 ; Isabel MATEO GÓMEZ, El Jardín de las Delicias y sus fuentes, Madrid, 2003 ; Eric De BRUYN, Texts and Images : The Sources for Bosch’s Art, dans : Bosch. The 5th Centenary Exhibition (cat. d’exp.), Madrid, Museo Nacional del Prado, 2016, pp. 73-89.
52Xavier DUQUENNE, La famille Scheyfve et Jérôme Bosch, dans : L’Intermédiaire des Généalogistes, janvier-février 2004, n° 349, pp. 1-19.
53María Dolores FUSTER SABATER, Estudio técnico y tratamiento de restauración aplicado al San Juan Bautista en el desierto de Jeronimus Bosch – El Bosco, dans : Goya, 1997, n°s 253-254, pp. 77-86.
54Matthijs ILSINK / Jos KOLDEWEIJ / Ron SPRONK et alii, Jheronimus Bosch schilder en tekenaar : catalogue raisonné, Anvers, 2016, n°s 5-6 ; Luuk HOOGSTEDE / Ron SPRONK / Robert G. ERDMANN et alii, Hieronymus Bosch. Painter and Draughtsman. Technical studies, Anvers, 2016, n°s 5-6.
55Voir, sur ce type d’habit, Carmen BERNIS, Indumentaria española en tiempos de Carlos V, Madrid, 1962, p. 101.
56Voir, à ce sujet, Enrique PARRA CREGO, Los materiales pictóricos de las obras de El Bosco en el Museo del Prado, dans : El Bosco en el Museo del Prado. Estudio técnico, Madrid, 2001, pp. 229-259.
57Ludwig VON BALDASS, Hieronymus Bosch, Vienne, 1943, pp. 32, 33, 66, 68, 86, 243.
58María Dolores FUSTER SABATER, Estudio técnico y tratamiento de restauración aplicado al San Juan Bautista en el desierto de Jeronimus Bosch – El Bosco, dans : Goya, 1997, n°s 253-254, pp. 85-86.
59Matthijs ILSINK / Jos KOLDEWEIJ / Ron SPRONK et alii, Jheronimus Bosch schilder en tekenaar : catalogue raisonné, Anvers, 2016, pp. 164-170. La théorie de Koldeweij a également été critiquée par Stephan Kemperdick. Selon lui, les panneaux de Berlin et du Musée Lázaro Galdiano n’auraient nullement constitué des pendants. Voir, à ce sujet, Stephan KEMPERDICK, notice, dans : Hieronymus Bosch und seine Bildwelt im 16. und 17. Jahrhundert (cat. d’exp.), Berlin, Staatliche Museen, 2016, n° 1.
60Nigel F. PALMER, ‘Visio Tnugdali’. The German and Dutch Translations and Their Circulation in the Later Middle Ages, Munich / Zurich, 1982, pp. 218-220.
61La traduction du célèbre texte de Lampson est empruntée à : Max J. FRIEDLÄNDER / Mia CINOTTI, Tout l’œuvre peint de Jérôme Bosch, Paris, 1967, p. 10.
62Yolande DE PONTFARCY, L’Au-delà au Moyen Âge. Les ‘Visions du chevalier Tondal’ de David Aubert et sa source, la ‘Visio Tnugdali’ de Marcus. Édition, traduction et commentaire, Berne, 2010, pp. 41-42.
63L’Achéron est, dans la mythologie classique, le fleuve de la douleur, une lagune insalubre que Charon traversait pour conduire les âmes vers l’Hadès. En revanche, dans la description de Marcus, il s’agit d’un monstre dont l’immense gorge était soutenue par deux diables gigantesques faisant fonction de colonnes. Cette description correspond assez étroitement à l’image créée par Simon Marmion pour le manuscrit conservé au Paul Getty Museum, Accession 87, MIN 141, Ms. 30.
64Wilhelm WILMINK / W.P. GERRITSEN (éds.), De Reis van sint Brandaan. Een reisverhaal uit de twaalfde eeuw, Amsterdam, 1994, pp. 38-45.
65Roger H. MARIJNISSEN / Peter RUYFFELAERE, Hiëronymus Bosch. Het volledig oeuvre, 1987, pp. 19-20.
66Voir, à ce sujet, Javier DOCAMPO, notice, dans : Bosch. The 5th Centenary Exhibition (cat. d’exp.), Madrid, Museo Nacional del Prado, 2016, n° 50.
67Yolande DE PONTFARCY, L’Au-delà au Moyen Âge. Les ‘Visions du chevalier Tondal’ de David Aubert et sa source, la ‘Visio Tnugdali’ de Marcus. Édition, traduction et commentaire, Berne, 2010, pp. 101-105.
68Yolande DE PONTFARCY, L’Au-delà au Moyen Âge. Les ‘Visions du chevalier Tondal’ de David Aubert et sa source, la ‘Visio Tnugdali’ de Marcus. Édition, traduction et commentaire, Berne, 2010, p. 139.
69Fray José DE SIGÜENZA, Historia de la Orden de San Jeronimo, Discurso XVII, cité par Elena VÁZQUEZ DUEÑAS, El Bosco en las fuentes españolas, Madrid, 2016, p. 144.
70Felipe De GUEVARA cité par Elena VÁZQUEZ DUEÑAS, El Bosco en las fuentes españolas, Madrid, 2016, p. 133.
71Peter KLEIN, Dendrochronological Analyses of some Paintings by H. Bosch and His Followers, dans : Jérôme Bosch et son entourage et autres études (Underdrawing and Technology in Painting. Symposium, 14), Louvain / Paris / Dudley, 2003, p. 5.
72Paul LAFOND, Hieronymus Bosch, son art, son influence, ses disciples, Bruxelles / Paris, 1914, p. 52. Le tableau est répertorié sous le n° 19 dans une liste de « Peintures de Hieronymus Bosch, de son école et de ses imitateurs les plus proches », p. 113 ( « Fantaisie morale »).
73Charles de TOLNAY, Hieronymus Bosch, Bâle, 1937, p. 105.
74L’œuvre n’a plus réapparu depuis la vente de 1943 et n’est connue actuellement que par la photographie. À en juger par l’image digitalisée sur le site du RKD, l’emblème de la confrérie de Notre-Dame de Bois-le-Duc se trouverait au-dessous de la représentation de la Paresse. Si l’identification est correcte, ce serait là une donnée importante.
75Yolande DE PONTFARCY, L’Au-delà au Moyen Âge. Les ‘Visions du chevalier Tondal’ de David Aubert et sa source, la ‘Visio Tnugdali’ de Marcus. Édition, traduction et commentaire, Berne, 2010, p. XXXII.
76Voir Pilar SILVA MAROTO, Bosch and his work, dans : Bosch. The 5th Centenary Exhibition (cat. d’exp.), Madrid, Museo Nacional del Prado, 2016, p. 25.
77Frédéric ELSIG, Jheronimus Bosch. La question de la chronologie (Travaux d’Humanisme et de Renaissance, 392), Genève, 2004.
78Pilar SILVA MAROTO, Bosch and his work, dans : Bosch. The 5th Centenary Exhibition (cat. d’exp.), Madrid, Museo Nacional del Prado, 2016, pp. 45-46.
79Manuel GÓMEZ MORENO, Catálogo monumental de España. Provincia de Salamanca, Madrid, 1967, p. 288
80Les interventions ont été réalisées par José de la Fuente et Natalia Martín Molina.
81Voir, sur cette œuvre, Marc BORRÁS ESPINOSA, Sobre la posible autoría del Bosco de la tabla central del tríptico de Los Improperios del Museu de Bellas Arts de València, dans : Archivo de Arte valenciano, 96, 2015, pp. 27-41.
82Voir, à ce propos, Luuk HOOGSTEDE / Ron SPRONK / Robert G. ERDMANN et alii, Hieronymus Bosch. Painter and Draughtsman. Technical studies, Anvers, 2016, n°s 27-28.