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Peinture - Moyen Age - Belgique - Histoire de l'art Jacques Aron Quand le Christ savait qu'il était juif. De la Pâque à l'Eucharistie chez Dieric Bouts. Le roman d'un tableau
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Reporticle : 188 Version : 1 Rédaction : 01/10/2016 Publication : 28/11/2016
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1 Voir : Edmond Vansteenberghe, Le cardinal Nicolas de Cues (1401-1464) ; L’Action – La Pensée, Champion, Paris, 1920. Théologien et évêque de Bayonne, Mgr Vansteenberghe (1881-1943) se situe clairement dans la continuité de l’Église romaine, mais avec une somme de connaissances et d’informations tout à fait remarquables. Le cardinal est originaire de la ville de Kues ; à son nom francisé correspond Cusanus en latin, Cusa en italien.
2 Son traité De Concordantia catholica (1433) en fait la synthèse.
3 Cribatio Alchoran (1460-61), « Le Coran passé au crible ». Nicolas de Cues avait fait le voyage de Constantinople en 1437 dans l’espoir de rapprocher les Églises grecque et latine, objectif rendu caduque par les événements ultérieurs.
4 De Mente, cité par E. Vansteenberghe, p. 321.
5 C’est dans cette ville du Haut-Adige, dont il est l’évêque, que le cardinal eut à faire face à une vive opposition du pouvoir, tout autant qu’à la foi superstitieuse de la population tyrolienne. Les armoiries de la ville montrent encore aujourd’hui l’agneau saint portant la croix et la bannière du Christ.
6 Nicolas de Cues, Le tableau ou la vision de Dieu, traduction par Agnès Minazzoli, Cerf, Paris, 1986, cité dans : Antoine Côté, Les tableaux de justice de Rogier van der Weyden d’après ceux qui les ont vus, p. 6, disponible en ligne.
7 E. Vansteenberghe, op. cit., p. 334.
8 E. Vansteenberghe, op. cit., p. 405.
9 Voyage de Georges Lengherand, Mayeur de Mons en Haynaut, à Venise, Rome, Jérusalem, Mont Sinaï et Le Kayre, 1485-1486, introduction, notes, glossaire, etc., par le marquis Godefroy Ménilglaise, Mons, 1861.
10 Sermon Missus est du 25 mars 1456, cité par E. Vansteenberghe, p. 404.
11 Le contrat rédigé en flamand a été retrouvé à la fin du XIXe siècle et publié par E. Van Even, Le contrat pour l’exécution de Thierry Bouts, de la collégiale Saint-Pierre à Louvain (1464), in : Bulletin de l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, dl. LXVIII, 1898, p. 474-476.
12 Aloys Butzkamm, Bild und Frömmigkeit im 15. Jahrhundert. Der Sakramentsaltar von Dieric Bouts in der St.-Peters-Kirche zu Löwen, Bonifatius, Paderborn, 1990, p. 108. Traduction : J. Aron.
13 Aloys Butzkamm, op. cit., p. 133.
14 Par souci d’uniformité, toutes les références sont extraites d’une Bible chrétienne classique, La Sainte Bible du Chanoine Crampon, Traduction d’après les textes originaux, révisée pour l’Ancien Testament par J. Bonsirven et de A. Tricot pour le Nouveau Testament, Desclée et Cie, 1960. Je n’y ai modernisé que l’orthographe de Iahvé (anciennement : Yahweh).
15 L’ouverture de l’année calendaire n’est encore fixée définitivement ni chez les Juifs ni chez les chrétiens.
16 Le texte complet est disponible en ligne : http://www.thomas-d-aquin.com/Pages/Traductions/SCG.pdf
17 Idem, p. 542.
18 Idem, p. 549.
19 Idem, p. 550.
20 Aloys Butzkamm, op. cit., p. 116.
21 L’ouvrage, écrit en latin savant, a été publié dans le texte et dans sa traduction française établie par Jean Miélot en 1448 sur ordre du Duc de Bourgogne, in : Speculum Humanae Salvationis, Kritische Ausgabe, Übersetzung von Jean Miérlot, 1448. Die Quellen des Speculums und seine Bedeutung in der Ikonographie, par J. Lutz et P. Perdrizet, Ernst Meininger, Mühlhausen, 1907.
22 Wilson, Adrian, and Joyce Lancaster Wilson. A Medieval Mirror. Berkeley : University of California Press, c1984. http://ark.cdlib.org/ark:/13030/ft7v19p1w6/
23« Judas et les Juifs tueront le Christ, leur frère et père », Speculum Humanae Salvationis, op. cit. p. 39. « Ô Judas, quelle est la cause pour laquelle tu as trahi ton Sauveur ? Ô très pervers Judas, tu as rendu à ton Seigneur le mal pour le bien, quand tu as trahi ton si grand bienfaiteur ! Semblablement les faux Juifs, tes complices, ont rendu le mal pour le bien, quand ils ont pendu en l’arbre de la croix leur Sauveur et créateur », Idem, p. 136.
24 Aloys Butzkamm, op. cit., p. 51.
25 La critique actuelle le nomme « Maître de la légende de sainte Catherine ». Pour une analyse plus ancienne, voir : « Primitifs flamands anonymes », catalogue avec supplément scientifique, édité par la ville de Bruges à l’occasion d’une exposition au Groeningemuseum, 1969.
26 Reproduit dans : Charles Potvin, Œuvres de Ghillebert de Lannoy, voyageur, diplomate et moraliste, avec des notes géographiques et une carte par J.-C. Houzeau, Louvain, Lefever, 1878. Nous n’entrerons pas ici dans une querelle plus récente attribuant la rédaction en tout ou en partie à son frère Hugues. Nous nous sommes permis d’actualiser quelque peu la langue des citations ci-dessous.
27 Idem, p.351.
28 Idem, p. 355.
29 Idem.
30 Idem, p. 384.
31 Idem, p. 385.
32 Idem, P. 387.
33 Idem.
34 Voyage de Georges Lengherand, Mayeur de Mons en Haynaut, à Venise, Rome, Jérusalem, Mont Sinaï & le Kayre, 1485-1486, avec introduction, notes, glossaire, etc. par le marquis de Godefroy Méninglaise, Masquillier et Dequesne, Mons, 1861.
35 Idem, p. 106.
36 Idem, p. 125.
37 Idem, pp. 131 à 136, 145, 164.
38 Idem, p. 181.
39 Idem, p. 197.
40 David Farmer, critique d’art américain in : Primitifs flamands anonymes, catalogue déjà cité de l’exposition de Bruges 1969, Lannoo, Tielt, p. 167.
41 Triptyque de la Cène, Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts, inv. n° 6908.
42 Triptyque de l’Abbaye de Dieleghem, Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts, inv. n° 329.
43 Dans le récit biblique, pour des raisons obscures, les noms d’Abram et de Saraï devinrent Abraham et Sara.