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Peinture - Epoque contemporaine - Belgique - Histoire de l'art Claire Leblanc L'impressionnisme en Belgique : l'épopée d'un art libre Bruxelles. Une capitale impressionniste.
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Reporticle : 111 Version : 1 Rédaction : 01/11/2014 Publication : 14/11/2014
Résumé
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Résumé

Dès les années 1880, Bruxelles se distingue avec éclat par son effervescence culturelle et la jeune capitale devient un carrefour des avant-gardes européennes. Elle compte parmi les premières à accueillir les chefs-d’œuvre impressionnistes et néo-impressionnistes aux Salons des XX et de la Libre Esthétique. Traditionnellement enclins à décrire le réel, sensibles au langage de la lumière et de la couleur, les peintres belges adoptent alors des thématiques qui reflètent l’univers contemporain, interprété selon une technique plus libre. Mais, en Belgique plus encore qu’en France, l’impressionnisme est affaire d’individus et se décline au pluriel. Le parcours de James Ensor qui, très tôt, use d’une palette claire et d’une touche fractionnée avant de participer au symbolisme puis à l’expressionnisme en témoigne. C’est également en toute indépendance que des personnalités aussi contrastées que celles d’Alfred Stevens, d’Émile Claus ou de Théo Van Rysselberghe s’imposent dès lors sur la scène artistique internationale.