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Fernand Léger. Painting in Space
Fernand Léger a réalisé des films, créé des peintures murales pour des résidences privées ainsi que pour des bâtiments publics comme par exemple le siège des Nations Unies à New York, il a conçu des costumes et des décors de théâtre, des vitraux pour des églises. C’est la première rétrospective qui met à l’honneur les peintures murales de l’artiste. Pour Léger, qui a une formation en dessin d’architecture, construire l’espace par la peinture se révèle être une préoccupation majeure. Il développe des relations avec les figures marquantes de l’architecture moderne. « Painting in Space » explore les fruits de ce dialogue et suit son développement depuis le début des années 1920 jusqu’à sa mort en 1955. L’exposition met l’accent sur des projets fascinants et expérimentaux qui reflètent ces différentes collaborations.
L’accrochage met en évidence des interventions picturales temporaires et permanentes dans des espaces privés ou publics ainsi que des projets non réalisés. Il fait la part belle à une sélection de peintures murales, mais aussi aux dessins, aux croquis et à divers documents qui permettent de contextualiser les oeuvres. Le point de départ de l’exposition est la peinture murale « Les Plongeurs » conçue pour la maison de l’architecte Wallace K. Harrison que Peter et Irène Ludwig ont achetée spécialement, il y a 30 ans, afin de l’exposer au musée. L’accent est donc mis sur les œuvres murales, y compris sur des réalisations qui n’ont jamais quitté leur emplacement d’origine mais elle s’enrichit aussi de peintures, de sculptures, d’esquisses, d’archives. Films expérimentaux, design graphique, textiles (tapisseries et tapis), productions liées au théâtre,… re-contextualisent l’ensemble de la production de l’artiste.
L’exposition rassemble 170 œuvres avec des prêts importants venant de collections européennes et américaines comme par exemple the Art Institute de Chicago, the Museum of Modern Art et the Solomon R. Guggenheim de New York, the Kunstmuseum (Bâle), le Centre Pompidou de Paris ou encore le Centre canadien d’Architecture de Montréal.
News
23 May 2016
Fernand Léger a réalisé des films, créé des peintures murales pour des résidences privées ainsi que pour des bâtiments publics comme par exemple le siège des Nations Unies à New York, il a conçu des costumes et des décors de théâtre, des vitraux pour des églises. C’est la première rétrospective qui met à l’honneur les peintures murales de l’artiste. Pour Léger, qui a une formation en dessin d’architecture, construire l’espace par la peinture se révèle être une préoccupation majeure. Il développe des relations avec les figures marquantes de l’architecture moderne. « Painting in Space » explore les fruits de ce dialogue et suit son développement depuis le début des années 1920 jusqu’à sa mort en 1955. L’exposition met l’accent sur des projets fascinants et expérimentaux qui reflètent ces différentes collaborations.L’accrochage met en évidence des interventions picturales temporaires et permanentes dans des espaces privés ou publics ainsi que des projets non réalisés. Il fait la part belle à une sélection de peintures murales, mais aussi aux dessins, aux croquis et à divers documents qui permettent de contextualiser les oeuvres. Le point de départ de l’exposition est la peinture murale « Les Plongeurs » conçue pour la maison de l’architecte Wallace K. Harrison que Peter et Irène Ludwig ont achetée spécialement, il y a 30 ans, afin de l’exposer au musée. L’accent est donc mis sur les œuvres murales, y compris sur des réalisations qui n’ont jamais quitté leur emplacement d’origine mais elle s’enrichit aussi de peintures, de sculptures, d’esquisses, d’archives. Films expérimentaux, design graphique, textiles (tapisseries et tapis), productions liées au théâtre,… re-contextualisent l’ensemble de la production de l’artiste.
L’exposition rassemble 170 œuvres avec des prêts importants venant de collections européennes et américaines comme par exemple the Art Institute de Chicago, the Museum of Modern Art et the Solomon R. Guggenheim de New York, the Kunstmuseum (Bâle), le Centre Pompidou de Paris ou encore le Centre canadien d’Architecture de Montréal.
Informations pratiques
Lieu : Musée de la Photographie
11 avenue Paul Pastur, 6032 Charleroi
Dates : Jusqu’au 22 mai 2016
Horaires : Accessible du mardi au dimanche de 10 à 18h00
Lien : www.museephoto.be
11 avenue Paul Pastur, 6032 Charleroi
Dates : Jusqu’au 22 mai 2016
Horaires : Accessible du mardi au dimanche de 10 à 18h00
Lien : www.museephoto.be
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