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Art en général - - -
Joanna De Vos
Jan Fabre. Facing Time. Time and face
A mutual and multiple portrait
Amateur
Expert
Notes
Notes
Numéro | Note |
1 | « Facing time. Rops/Fabre. », Namur, 14 mars – 30 août 2015 |
2 | Jan Fabre, « Une tribu, voilà ce que je suis », in : Jan Fabre, Cinq pièces, Paris, L’Arche, 2005, pp. 167-185. |
3 | Jan Fabre, « Être toujours partout et que partout toujours il vous manque quelque chose », L’Ange de la mort, in : Jan Fabre, Quatre pièces, Paris, L’Arche, 2000, p.114. |
4 | L’Ange de la mort : texte (1996), installation vidéo (2002) et pièce de théâtre (2003). |
5 | Jan Fabre, L’Ange de la mort, in : Jan Fabre, Quatre pièces, Paris, L’Arche, 2000, p. 120 |
6 | William Whewell, The Philosophy of the Inductive Sciences, London, John W. Parker, West Strand, 1840. |
7 | Edward O. Wilson, L’Unicité du savoir, Paris, Robert Laffont, 2000 |
8 | « Janus, the God with two faces, ubiquitous and enigmatic ; he looks both forwards and back, at the past and the future, at the inner and outer world ; he sees everything from both sides. Janus is the God of everything that’s beginning. » Cette phrase figure dans l’ensemble des magazines Janus. |
9 | Jan Fabre, L’Ange de la mort, in : Jan Fabre, Quatre pièces, Paris, L’Arche, 2000, pp. 121-122. |
10 | « A mes yeux, l’ariste est la conscience de son époque, mais en premier lieu la conscience de son propre temps », in : Le Guerrier de la beauté. Entretiens avec Hugo de Greef et Jan Hoet, traduit du néerlandais par Willy Devos, Paris, L’Arche, 1994, p. 81. |
11 | Paul Claudel, L’œil écoute, Paris, Gallimard, 1946 |
12 | Arthur Rimbaud, Lettre du voyant, adressée à Paul Demeny, 1871 |
13 | Jan Fabre, Les Années de l’Heure Bleue. Dessins et sculptures,n 1977-1992, Milan, Silvana Editoriale, 2012. |
14 | Jan Fabre, L’Ange de la mort, in : Jan Fabre, Quatre pièces, L’Arche, Paris, 2000, pp. 105-122. |
15 | Ce sont également les titres de deux épées de la série Chalcosoma [pp. 68-81] |
16 | Sels Nadia, Chalcosoma. Petits bronzes, 2006-2012, Brasschaat, Pandora, 2012. |
17 | Je suis sang (conte de fées médiéval) : projet théâtral monté à la demande du Festival d’Avignon pour la cour d’Honneur du palais des Papes (2001) |
18 | Festival Polysonneries, Lyon |
19 | Jan Fabre, Journal de nuit (1978-1984), 14 mai 1978, Paris, L’Arche, 2012. |
20 | « Glorieuze Martelie van Dienaer van Den kunst. Maertelar, Gheboren by Antwerpen, vreede Kundige Ketters Sprÿngenden uit den Bosch, Hebben Den, Den Dienaer Van Den Kunst Aen Eenen Boom Gehangen, Met vele Pistolescheuten Doosrchoten, En Siende Dat Hij Noch Leefde, Hebben hem vreedelick Doorcapt » [p.123] |
21 | Jan Fabre, Je suis sang , in Jan Fabre, Deux pièces, Paris, L’Arche, 2001, p. 34 |
22 | Jan Fabre, Journal de nuit, 1985-1991, Paris, L’Arche, 2015, 8 mai 1991 |
23 | Mon salut est entre les mains de Marie. La déesse de la félicité et du désir |
24 | Le pouvoir des folies théâtrales (1984-2012), Tannhäuser (2004), Tragedy of a Friendship (2013). |
25 | Jan Fabre, Journal de nuit, op. cit., 16 septembre 1983 |
26 | Jan Fabre, Une femme normale-à-en-mourir, in Jan Fabre, Quatre pièces, Paris, L’Arche, 2000, pp. 123-150. |
27 | Jan Fabre, L’empereur de la perle (1994), in Jan Fabre, Cinq pièces, Paris, L’Arche, 2005, pp. 49-101. |
28 | L’ami Henri : personnification de la mort popularisée dès 1775 par le poète allemand Matthias Claudius |
29 | Jan Fabre, Journal de nuit 1955-1991, Paris, L’Arche, 2015, 17 mars 1987 |
30 | « Oost west thuis best », comme l’a écrit Jan Fabre sur un dessin de la série The Fountain of the World. |
31 | « Het meest interessante aan een berg is niet de berg, maar de grotten die hij verbergt », comme Jan Fabre l’a écrit sur un dessin de la série The Fountain of the World » |
32 | « Quand il n’y a pas d’imagination, il n’y a pas d’érection » |
33 | Jan Fabre, Journal de nuit, op. cit., 28 mai 1987 |
34 | « Facing time. Rops/Fabre », Namur, 14 mars – 30 août 2015 |
35 | Jan Fabre, Je marche pendant sept jours et sept nuits, Paris, Jannink, 2002. |
36 | Jan Fabre, De vervalsing vanhet geheime feest, Polynero II, Gallery, Turnhout/New Math Gallery, New York, 1985, p.28. |