Remerciements
La parution du présent ouvrage dans la prestigieuse collection des « Mémoires de la Classe des Beaux-Arts » de l'Académie royale de Belgique s'est faite à l'initiative du Baron Roberts-Jones, son Secrétaire perpétuel, auquel j'exprime ma profonde reconnaissance. Ma gratitude va également à Paul Philippot et au Chanoine André Lanotte qui, à l'instar du regretté Jules Labarbe, ont recommandé la publication de cette étude à condition toutefois qu'elle soit abondamment illustrée. Cette exigence – pleinement justifiée quand on sait que mon enquête est basée sur le double questionnement des textes et des images – n'aurait pu être rencontrée sans l'intervention, particulièrement généreuse, de la Fondation Universitaire de Belgique et de la Fondation Francqui. Qu'elles en soient chaleureusement remerciées.
Je ne saurais taire, par ailleurs, tout ce que je dois à François Souchal, directeur de la thèse dont ce livre est tiré, et à mes amis Pierre Hamblenne et Michel Wiedemann qui, en son temps, m'ont tous deux épaulée dans le cadre de l'épreuve doctorale. Que le docteur Jean-Claude Vinourd veuille également trouver ici l'expression de ma reconnaissance pour les splendides photographies dont il m'a fait don. Cet ouvrage, qui en reproduit près de cent cinquante, constitue à cet égard, le plus bel hommage à son talent.
J'exprime de même ma gratitude aux différents centres de recherche et aux bibliothèques qui m'ont accueillie avec compétence, et souvent même avec cordialité. Ainsi la Bibliothèque royale Albert Ier et le Centre d'Études Supérieures de Civilisation Médiévale de Poitiers ont-ils été pour moi des lieux de travail privilégiés. Mais je garde aussi le meilleur souvenir des heures studieuses passées dans nombre d'institutions disséminées un peu partout en Europe, parmi lesquelles le Courtauld Institute of Art (Londres); l'Instituto Diego Vélasquez (Madrid); le Bildarchiv Foto Marburg im Kunstgeschichtlichen Institut der Philipps-Universitat (Marburg-am-Lahn); les Mittellateinisches Wörterbuch, Thesaurus Linguae Latinae, Zentralinstitut für Kunstgeschichte (Munich); les Archives photographiques et l'Institut de recherche et d'histoire des textes (Paris); le Kunsthistorisch Instituut de la Rijksuniversiteit, Utrecht, où j'ai consulté l'Index of Christian Art de l'Université de Princeton.
Enfin, que ma famille et mes amis, qui m'ont soutenue et encouragée tout au long de ces années de recherche sachent que je ne les oublie pas.
Jacqueline Leclercq-Marx
Bruxelles, novembre 1997