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Art en général - - - - Eugène Warmenbol L’égyptomanie et l’égyptologie en Belgique Quand passion deviendrait raison
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Reporticle : 98 Version : 1 Rédaction : 01/06/2014 Publication : 08/07/2014

Notes

NuméroNote
1M. Draguet, Khnoppf ou l’ambigu poétique, Bruxelles, Snoeck-Decaju et GRAM, 1995, pp. 401-402.
2Il créa trois modestes opéras-comiques (Gretna Green d’Ernest Guiraud, Pierrot fantôme de Vercken et Le passant de Paladilhe) et un Prix de Rome obligé (Maximilien à Frankfort de Limnander) en 1874, la saison 1874-1875 fut la seule de tout le XIXe siècle à ne pas compter de création.
3On consultera ces différents devis (de 19.500 à 21.061 fr. ! alors que la dotation publique annuelle s’élevait à l’époque à environ 100.000 fr.) et les courriers y afférent aux Archives de la Ville de Bruxelles, fonds de l’Instruction publique (désormais signalé sous AVB : IP), n°2993.
4On trouvera les détails de la comptabilité Stoumon-Calabrési 1875-1885 in AVB : IP 2931.
5L’indépendance belge du 19 mais 1862.
6L’autre œuvre créée durant cette saison est la très anodine Bernoise, opéra-comique en 1 acte d’Emile Mathieu.
7Souvenirs d’un abonné cité in L’indépendance, 21 décembre 1912.
8Distribution lors de la création à la Monnaie (10 janvier 1880) : Tamino : Rodier.— Papageno : Soulacroix. — Sarastro : Gresse. — Monostatos : Lonati. — prêtres : Lefèvre et Chapuis. — hommes d'armes : Voulet et Boutens. — Pamina : E. Warnots. — le reine de la nuit : J. Devriès-Dereims. — Papagena : Lonati. — première fée : Rebel. — deuxième fée : Deschamps. — troisième fée : Duvivier.
9Compte rendu de la fête maçonnique donnée le 23e et 24e j. du 6e M. de l’an de la Vraie Lumière 5880, Bruxelles, Imp. Vve Bartsoen, vol. I, p. 17 cité in Clément (F.), Histoire de la franc-maçonnerie belge au XIXe siècle, Bruxelles, Imprimerie du suprême conseil, 1949, vol. II, p. 81.
10Programme de la Fête du 24 août 1880 au Théâtre royal de la Monnaie, GR... OR... de Belgique (BXL, AVB, IP sans cote).
11L. Solvay, L’évolution théâtrale, Bruxelles, Van Oest, 1922, tome 2, pp. 7-8.
12E. Schuré, Histoire du drame musical, Paris, Perrin, pp. 258-259, 1925.
13Liste dressée en 1908 (BXL, AVB : IP 3057).
14L’indépendance belge du 1er janvier 1901.
15Le Soir du 5 janvier 1901.
16Le Soir du 15 février 1902.
17La Réforme du 15 février 1902.
18Sapho (3 novembre 1903), de Jules Massenet - Zannetta (13 novembre 1903), ballet d’Agniez - Le roi Arthus (30 novembre 1903), d’Ernest Chausson - La belle au bois dormant (30 décembre 1903), de Charles Silver - Le mariage aux lanternes (31 janvier 1904), de Jacques Offenbach - La Tosca (2 avril 1904), de Giacomo Puccini.
19Le Journal de Liège 18 mars 1904.
20Journal de Bruxelles, 17 mars 1904.
21La distribution complète se détaille ainsi : Tamino : Delmas. — Papageno : Boyer. — Sarastro : Vallier. — Monostatos : Belhomme. —Manes : Caisso. — Pamina : Dratz Barat. — la reine de la nuit : Bréjean Silver. — Papagena : Eyréams. - homme d'arme : Caisso.
22L’étoile belge du 15 mars 1904. Le Patriote (de 16 mars 1904) préfère s’attarder sur les lacunes de la mise en scène : « Il n’y a pas un portier d’hôtel (de Berlin) qui au lendemain de votre arrivée ne vous conseille de retenir des places pour la Zauberflöte : c’est ainsi qu’on prétend honorer Wolfgang Mozart. Pour excuser cette manie, il faut dire que l’Opéra de Berlin a poussé son machinisme à une perfection insoupçonnée, et que ce qui, pour nous, n’est qu’une succession de tableaux fantaisistes, participe là-bas de la capiteuse imagination des Mille et une nuits. Notre reprise ne fut pas sensationnelle, et notre machinisme exige encore de longs moments d’obscurité pour les changements à vue : cela hache la représentation en menus morceaux ».
23Le Soir du 16 mars 1904.
24Le XXe siècle du 16 mars 1904.
25La Chronique du 16 mars 1904.
26La gazette du 16 mars 1904.
27Guide musical des 1, 8 et 15 décembre 1912. Ces articles constitueront l’ossature de l’imposant ouvrage de Maurice Kufferath, La flûte enchantée de Mozart, Bruxelles-Paris, Fischbacher, 1914-19.
28M. Kufferath, La flûte…, p. 117. Rappelons que Parsifal sera créé à la Monnaie en 1914 et que cette création annoncée de longue date forme l’actualité en décembre 1912.
29L’indépendance belge du 23 décembre 1912.
30La distribution de cette production se détaille ainsi : Tamino : Louis Girod. — Papageno : Léon Ponzio. — Sarastro : Joseph Grommen. — Monostatos : Octave Dua. —hommes d'armes : Hector Dognies et Charles Danlée. — Pamina : Margueritte Rollet. — le reine de la nuit : Angèle Pornot. — Papagena : Marthe Symiane — première fée : Alice Berelli. — deuxième fée : Denise Callemien. — troisième fée : Pauline Charney.
31M. Kufferath, La flûte…, pp. 129, 131, 140 et 141.
32M. Draguet, Khnoppf ou l’ambigu poétique, Bruxelles, Snoeck-Decaju et GRAM, 1995, pp. 401-402.
33La question maçonnique est à peine esquissée dans la presse, - il est vrai que la tempête que déchaîna la création de Salomé de Richard Strauss en mars 1907 (au milieu de la semaine sainte) avait rendu désuète toute polémique en la matière à propos de La flûte.
34La Gazette du 22 décembre 1912.
35L’indépendance belge du 21 décembre 1912.
36F. Gevaert, De l’exécution musicale, discours prononcé en séance publique de la classe des Beaux-arts de l’Académie royale de Belgique, le 26 novembre 1905 cité par L. Solvay, L’évolution théâtrale, Bruxelles, Van Oest, 1922, tome 2, p. 9.