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- - - Elise Gilles L’École de Tervueren : la part du réel L’École de Tervueren : la part du réel
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Reporticle : 189 Version : 1 Rédaction : 01/11/2016 Publication : 12/12/2016
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1 Comme Patricia Koeckx l’avait déjà noté en 1982, les archives sur les membres de l’École de Tervueren, très maigres, ne sont d’aucune aide réelle dans l’étude de l’École. Voir : Patricia KOECKX, Hippolyte Boulenger (1837-1874). Dessinateur de la nature et du paysage, Université Catholique de Louvain, Faculté de Philosophie et Lettres, Section d’Archéologie et Histoire de l’Art, Mémoire de fin d’études, sous la dir. du prof. R. Van Schoute, 1982, p. 4.
2 Herman DE VILDER et Maurits WYNANTS, L’École de Tervueren, trad. par Pascal Tasiaux, Tervueren, v.z.w. De Vrienden van de School van Tervuren, 2000.
3 Site internet de l’ASBL De Vrienden van de School van Tervueren, http://www.vriendensvt.be [consulté le 16/12/15].
4 Bimensuel dirigé par Adolphe Siret, fondé en 1859.
5 Durendal. Revue catholique d'art et de littérature, Bruxelles, 1894-1914 ; 1921 ; Floréal. Revue mensuelle de littérature et d'art, Bruxelles, 1892-1893 ; La Gazette, Bruxelles, 1874 ; La Chronique, Bruxelles, 1874 ; L’Art libre, Bruxelles, Bruxelles, 1871-1872 ; L’Art wallon, Verviers, 1895-1896 ; La Basoche. Revue littéraire et artistique, Bruxelles, 1884-1886 ; La Fédération artistique. Organe hebdomadaire des intérêts artistiques, littéraires, scientifiques et industriels. Bruxelles, 1873- 1919 ; La Jeune Belgique, Bruxelles, 1881-1897 ; La Plume au service des arts et des lettres, Bruges, 1870-1872 ; La Revue moderne, Bruxelles, 1882-1883 ; La Société nouvelle, Bruxelles, 1884-1913 ; La Tribune du peuple, Bruxelles, 1866 ; La Wallonie, Bruxelles, 1886-1892 ; L'Actualité. A travers le monde et l'art, Bruxelles, 1876-1877 ; L'Art jeune, Bruxelles, 18951896 ; L'Art moderne. Revue critique des arts et de la littérature, Bruxelles, 1881-1914 ; L'Art universel, Bruxelles, 1873-1876 ; L'Art wallon - Les Heures, Bruxelles, 1895-1897 ; L'Artiste, Bruxelles, 1875-1878 ; L'Athenaeum belge. Journal universel de la littérature, des sciences et arts, Bruxelles, 1878-1883 ; Le Coq rouge. Revue littéraire, Bruxelles, 1895-1897. Le Journal des Beaux-Arts et de la littérature, Bruxelles, 1866-1887 ; Le Samedi, Bruxelles, s. d. ; Le Sancho : journal du dimanche, revue des hommes et des choses [1846-1871], Bruxelles, 1866 ; L'Echo des Beaux-Arts, Bruxelles, 1870 ; Les Heures (L’Art wallon), Verviers, 1897-1898 ; Les Hommes du jour. Revue biographique de la politique, des sciences, des arts, de la littérature etc., Bruxelles, 1883-1896 ; L'Espiègle, Bruxelles, 1864-1868 ; L'Eventail. Théâtral, artistique et mondain, Bruxelles, 1888-1914 ; Revue de Belgique, Bruxelles, 1866-1880.
6 Pierre ARON et Pierre-Yves SOUCY, Les Revues littéraires belges de langue française de 1830 à nos jours, Bruxelles, Labor et Archives et Musée de la littérature, 1998.
7 Claudette SARLET, Les Écrivains d’art en Belgique, 1860-1914, Bruxelles, Labor (coll. « Un livre une œuvre »), 1992.
8 Les journaux français repris ici mentionnent l’École de Tervueren entre 1866 et 1905 et sont disponibles sur http://www.gallica.bnf.fr : Annuaire publié par la Gazette des Beaux-Arts, Paris, 1870 ; Le Rappel, Paris, 1869-1933 ; Le Petit Journal, parti socialiste français Paris, 1863-1944 ; La Chronique des arts et de la curiosité : supplément à la Gazette des Beaux-Arts, Paris, 1861-1922 ; Musée universel. Journal illustré des familles, Paris, 1872-1878 ; Le Progrès, Paris, 1859 - ; Le Temps, Paris, 1861-1942 ; La Gazette des Beaux-Arts : courrier européen de l'art et de la curiosité (1859-2002), Paris, de 1859 à 1905 ; Courrier de l'art : chronique hebdomadaire des ateliers, musées, expositions, Paris, 1881-1892 ; La Revue des Beaux-Arts [s.d.], Paris, 1889.
9 Sur l’Exposition générale des Beaux-Arts, voir : Christophe LOIR, « L’Émergence des Beaux-Arts en Belgique : institutions, artistes, public et patrimoine (1773-1835) », in Études sur le XVIIIe siècle, Éditions de l’Université Libre de Bruxelles, volume hors-série 10, 2004, p. 258-263.
10 Exposition générale des Beaux-Arts. Catalogue explicatif, Bruxelles, 1866, p. 10.
11 Plusieurs auteurs évoquent l’École de Tervueren sans se risquer à en définir les membres, et lorsque d’autres s’y aventurent, les peintres associés à l’École varient selon les sources. Le groupe s’agrandit au fil du temps, dans une mesure, nous le verrons, qui ne répond pas toujours fidèlement à la réalité. Les membres retenus ici, pour cette soirée de 1866, sont ceux que nous indique Jules Du Jardin : Hippolyte Boulenger, Joseph-Théodore Coosemans, Jules Montigny, Jules Raeymaekers et Alphonse Asselbergs. Voir : Jules DU JARDIN, L’Art flamand. Les artistes contemporains, Bruxelles, Arthur Boitte, vol. 5, 1899, p. 60.
12 Auteur belge, 1863 – 1940.
13 Exposition générale des Beaux-Arts, catalogue explicatif, Bruxelles, 1866, p. 27 et 82.
14 Regroupement d’artistes dont l’importance, notamment médiatique, et les positions esthétiques réalistes marquent fortement la scène artistique belge. Sur la Société Libre des Beaux-Arts, voir : Apolline MALEVEZ, La Société libre des BeauxArts et les Salons triennaux, Université Libre de Bruxelles, Faculté de Philosophie et Lettres, Section d’Histoire de l’Art et Archéologie, Mémoire de fin d’études sous la dir. du prof. Denis Laoureux, 2003.
15 Cette liste, de 1868, est la référence de plusieurs ouvrages sur la Société libre des Beaux-Arts, voir : Apolline MALEVEZ, Ibid., p. 25, et Ségolène LE MEN, « “Une interprétation libre et individuelle de la nature” : La Société libre des Beaux-Arts et ses réseaux à Paris », in En nature. La Société Libre des Beaux-Arts, d’Artan à Whistler, Namur, Musée Félicien Rops, 1er juin – 1er septembre 2013, p. 30-49.
16 Peintre belge, 1834 – 1891.
17 Apolline MALEVEZ, op. cit., s.p.
18 Camille LEMONNIER, « Exposition du Cercle », in L’Art Libre, Bruxelles, n°12, 1er juin 1872, p. 1-10.
19 La liste s’élargit encore chez des auteurs postérieurs mais qui s’éloignent, nous le verrons, de la conception de l’École de Tervueren qu’a le 19ième siècle, or c’est ici la période étudiée. Sont donc repris en plus du noyau traditionnel (Hippolyte Boulenger, Jules Montigny, Jules Raeymaekers, Alphonse Asselbergs, Joseph-Théodore Coosemans, Camille Van Camp), ceux que Paul Fierens cite : Édouard Huberti, Henri Van der Hecht, Adolphe Hamesse, Louis Crépin, Théodore Baron et Isidore Verheyden. Voir : Paul FIERENS, op. cit., p. 470.
20 Nous n’avons pas retrouvé la trace de ce commentaire de la part de Victor Joly dans Le Sancho de 1866. Son commentaire est rapporté par Jules Du Jardin en 1899 et repris par Herman De Vilder et Maurits Wynants en 2000. Voir : Jules DU JARDIN, op. cit., p. 60 et Herman DE VILDER et Maurits WYNANTS, op. cit., p. 121.
21 S., « Le Salon de Gand», in Journal des Beaux-Arts et de la Littérature, Bruxelles, n°20, 31 octobre 1868, p. 155.
22 S., « Le Salon d’Anvers », in Journal des Beaux-Arts et de la Littérature, Bruxelles, n°17, 17 septembre 1870, p. 129.
23 Hippolyte Boulenger reçoit la médaille d’or pour L’Allée des charmes, au Salon de Bruxelles en 1872. Voir : ANON., « Le Salon de Bruxelles (cinquième article) », in Journal des Beaux-Arts et de la littérature, Bruxelles, n°3, 31 octobre 1872, p. 1.
24 Le Journal des Beaux-Arts et de la littérature cite Coosemans en 1876, « le chef actuel de Tervueren » ; actuel car Boulenger en effet est mort ; Coosemans ne sera néanmoins plus décrit comme tel par la suite. Voir : ANON., « Salon d’Anvers (suite) », in Journal des Beaux-Arts et de la littérature, Bruxelles, n°18, 30 septembre 1876, p. 142.
25 À titre d’exemple, le terme n’apparaît ni dans L’Actualité, ni dans La Revue moderne et La Jeune Belgique ne le mentionne pas avant 1886.
26 Même lorsque la presse est conservatrice : le Journal des Beaux-Arts et de la littérature réfère en 1887 à l’École de Tervueren comme une époque précédente et meilleure que la présente. Voir : O., « Exposition Coosemans », in Journal des Beaux-Arts et de la littérature, Bruxelles, n°3, 15 février 1887, p. 21.
27 En nature. La Société libre des Beaux-Arts, d’Artan à Whistler, op. cit., p. 8.
28 Les écrits sur la Chrysalide sont rares ; pour un aperçu sur le sujet, voir : Denis LAOUREUX, « Constantin Meunier et l’art d’être vu. Usages de l’exposition », in Constantin Meunier (1831-1905), Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, 20 septembre 2014 – 11 janvier 2015, p. 125.
29 Michel DRAGUET, « Les Vingt et le pouvoir », in Ginette KURGAN-VAN HENTENRYK et Valérie MONTENS (dir.), L'Argent des arts. La politique artistique des pouvoirs publics en Belgique de 1830 à 1940, Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles, 2001, p. 103.
30 Paul ARON et Pierre-Yves SOUCY, op. cit., p. 24-25.
31 ANON., « Petite Chronique », in L’Art moderne, Bruxelles, n°11, 12 mars 1882, p. 86.
32 ANON., « L’exposition Théodore Verstraete à Anvers », in L’Art moderne, Bruxelles, n°10, 7 mars 1886, p. 76.
33 Écrivain d’art belge, 1838-1909.
34 Écrivain et critique d’art belge, 1844-1913.
35 Voir : José DOMINGUES DE ALMEIDA, De la belgitude à la belgité. Un débat qui fit date, Bruxelles, Peter Lang, 2013, p. 44.
36 Sur le rôle du paysage dans l’identité d’un État, voir : Claire BILLEN et Julie VERSELE (édit.), La construction des paysages nationaux, Bruxelles, Université Libre de Bruxelles, Centre d’études canadiennes, 2001. Pour la Belgique en particulier : Émilie BERGER, « Les Paysages de la nation », in Paysages de Belgique : un voyage artistique, 1830-2015, Bruxelles, Musée d’Ixelles, 24 juin 2015 – 20 septembre 2015, p. 56-58.
37 Le phénomène est décrit par beaucoup d’auteurs. Voir entre autres : Laurence BROGNIEZ, « Nés peintres, la “prédestination merveilleuse“ des écrivains belges », in Nathalie AUBERT (e. a.), La Belgique entre deux siècles. Laboratoire de la modernité, 1880 – 1914, in Le Romantisme et après en France, Berne, Peter Lang (vol. 12), 2007, p. 85-106 et Denis LAOUREUX, « Langage et représentation dans l’art moderne et contemporain en Belgique », in Le Livre et l'estampe, vol. 52, n° 166, p.9-90, 2006, p. 10-15.
38 Camille LEMONNIER, « Les Artistes belges. Hippolyte Boulenger », in La Gazette des Beaux-Arts : courrier européen de l'art et de la curiosité, Paris, juillet 1879, p. 255-272.
39 Camille LEMONNIER, « Les Artistes belges : les peintres de Tervueren», in La Gazette des Beaux-Arts : courrier européen de l'art et de la curiosité, (supplément La Chronique des Beaux-Arts et de la curiosité), Paris, n°34 / 36, 10 novembre 1874 / 28 novembre 1874, p. 339/354.
40 Sur la carrière et l’ambition de Lemonnier, voir entre-autres : Paul ARON, « Camille Lemonnier : critique d’art et stratégie littéraire », in Le Naturalisme et les lettres françaises de Belgique, Bruxelles, revue de l’Université Libre de Bruxelles, n°4-5, 1984 et Thomas MARIMAN, Camille Lemonnier et la Société Libre des Beaux-Arts de Bruxelles. Le réalisme comme art national, Université Libre de Bruxelles, Faculté de Philosophie et Lettres, Section d’Histoire de l’Art et Archéologie, Mémoire de fin d’études, sous la dir. du prof. Denis Laoureux, 2007.
41 Camille LEMONNIER, Salon de Bruxelles 1866, Bruxelles, Vanderauwera, 1866 ; ID., Salon de Paris 1870, Paris, A. Morel, 1870 ; ID., « Salon de 1882 » et « Salon de Bruxelles 1884 », in ID., Les Peintres de la vie, Paris, Savine, 1888.
42 Lucien SOLVAY, L'Art et la liberté. Le sentiment national dans les arts, le cléricalisme dans l'art, les beaux-arts en Belgique depuis 1830, le naturalisme, Bruxelles, Lebègue, 1881, p. 190-208.
43 Ibid., p. 196-207.
44 Camille LEMONNIER, « Histoire des Beaux-Arts en Belgique », in Cinquante ans de liberté (vol. 3), Bruxelles, M. Weissenbruch, 1881.
45 Ibid., livre 2, p. 221-230.
46 Camille LEMONNIER, La Belgique [1888], Bruxelles, Alfred Castaigne, 1903.
47 Les Peintres de la vie, paru pourtant la même année, ne mentionne pas d’École de Tervueren mais cela n’est pas remarquable : l’ouvrage est uniquement composé de différents écrits antérieurs à La Belgique, rédigés entre 1870 et 1884. Voir : Camille LEMONNIER, Les Peintres de la vie, op. cit.
48 Camille LEMONNIER, La Belgique [1888], Bruxelles, Alfred Castaigne, 1903, p. 73.
49 Ibid., p. 632.
50 Ibid., p. 258.
51« Quand il s’en alla nous étions amis pour la vie, si peu qu’il dût vivre. », par exemple, clôt le septième chapitre d’Une vie d’écrivain, où Lemonnier nous raconte sa rencontre avec Hippolyte Boulenger en 1864 : Camille LEMONNIER, Une vie d'écrivain [1911], Bruxelles, Académie royale de langue et de littérature françaises, 1994, p. 92.
52 Edmond-Louis DE TAEYE, Les Artistes belges contemporains. Leur vie - Leurs œuvres - Leur place dans l'art, Bruxelles, Castaigne, 1894 – 1897, p. 447.
53 Jules DU JARDIN, op. cit., p. 59.
54 Herman DE VILDER et Maurits WYNANTS, op. cit.
55 Camille LEMONNIER, Salon de Bruxelles 1866, Bruxelles, Vanderauwera, 1866.
56 Camille LEMONNIER, Les Peintres de la vie, op. cit.
57 Camille LEMONNIER, Salon de Paris 1870, op. cit.
58 Camille LEMONNIER, « Les Artistes belges. Hippolyte Boulenger », op. cit., p. 255-272.
59 Camille LEMONNIER, « Histoire des Beaux-Arts en Belgique », op. cit.
60 Camille LEMONNIER, La Belgique [1888], Bruxelles, Alfred Castaigne, 1903.
61 Ni Charles Blanc, A. Michiels, William Thoré-Bürger, M. Waller ou A. Wauters, figures importantes de la critique d’art, alors, ne mentionnent l’École dans leurs ouvrages.
62 Jules DU JARDIN, op. cit., p. 55.
63 Joseph-Théodore Coosemans, Bruxelles, Cercle artistique et littéraire, 4 novembre – 26 novembre 1905.
64 Ibid., p. 5.
65 Ibid., p. 6.
66« L’École de Tervueren », exposition rétrospective, Tervueren, Cercle des Intérêts Matériels de Tervueren et des Environs, 31 mai – 29 juin 1924.
67 Ibid.
68 L’Œuvre de Hippolyte Boulenger, Bruxelles, Galerie Georges Giroux, 20 février – 4 mars 1931.
69 Écrivain d’art belge, 1869-1955.
70 Le texte est signé G. V. Z., probablement de la plume de Gustave Vanzype.
71 Gustave VANZYPE, in L’Œuvre de Hippolyte Boulenger, op. cit., p. 15.
72 Ibid.
73 Écrivain d’art belge, 1890-1943.
74 Paul COLIN, Hippolyte Boulenger, op. cit.
75 Ibid., p. 34.
76 L’École de Tervueren, op. cit.
77 Ibid., s.p.
78 Ibid., s.p.
79 Les Yeux et les pinceaux. Hippolyte Boulenger 1837 – 1874, Bruxelles, (Musée d’art moderne) Musées royaux des BeauxArts de Belgique, 13 septembre – 20 octobre 1974.
80 Georges Le Brun. Maître de l'intime, Namur, Musée Félicien Rops, 24 octobre 2015 - 26 mars 2016.
81 Professeur émérite à l’Université de Liège, voir :  http://www.klinkenberg.ulg.ac.be/Jean-Marie_Klinkenberg/Accueil.html [consulté le 16/12/2015].
82 Jean-Marie KLINKENBERG, « Une “école verviétoise” de peinture ? Les réalités d’un mythe », in Georges Le Brun. Maître de l'intime, op. cit., p. 91.
83 Ibid., p. 92.
84 Loc. cit.
85 Camille LEMONNIER, « Les Artistes belges. Hippolyte Boulenger », op. cit., p. 266.
86 Voir : Paul COLIN, op. cit.
87 Seul Paul Colin, en 1934, s’efforce de démontrer que l’École de Tervueren n’est pas inspirée par Barbizon – vainement, car l’idée lui survivra. Voir : Ibid.
88 Par exemple, sur le caractère expressif du réalisme qui parcourt la Belgique dans les années 1870, voir : Michel DRAGUET, « Une Ardenne de rêve : Khnopff et le paysage », in Claire BILLEN et Julie VERSELE (édit.), op. cit., p. 140-142.
89 Pour un aperçu des tendances qui se succèdent entre 1860 et 1900, en Belgique, voir l’introduction de Robert Hoozee au catalogue de l’exposition : Robert HOOZEE, Het Landschap in de Belgische kunst, 1830-1914, op. cit.
90 Charles TARDIEU, Joseph-Théodore Coosemans, op. cit., p. 5.
91 Émilie BERGER, « Les Paysages de la nation », op. cit., p. 56-58.