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Illustration - Peinture - Moyen Age - Europe - Histoire de l'art Lara de Merode Entre mythologie et botanique Dieux et héros dans les herbarii médiévaux
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Reporticle : 238 Version : 1 Rédaction : 21/07/2018 Publication : 29/01/2019
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1Isidore de Séville, Etymologies, VIII, 11 (éd. Graziani F. et Wolff E., dans Fulgence. Virgile dévoilé, Villeneuve d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2009, p. 93) ; voir également l’édition et la traduction des Etymologies de Barney A.S., Lewis W.J, Beach J.A. et Berghof O., Cambridge, Cambridge University Press, 2006, p. 183.
2Seznec J., La survivance des dieux antiques, Paris, Flammarion, 1993 (1940), p. 21-48.
3Panofsky E. et Saxl F., « Classical Mythology in Mediaeval Art », in Metropolitan Museum Studies, 4, 1933, p. 228-280 ; Seznec J., La survivance des dieux antiques, Londres, The Warburg Institute, 1940 ; Himmelmann N., Antike Götter im Mittelalter, Mayence, Philipp Von Zabern, 1985 ; Leclercq-Marx J., « La représentation des dieux du panthéon romain, du Carolingien au Roman. Une focalisation nécessaire », dans La Pensée du regard. Etudes d’histoire de l’art offertes à Christian Heck, (dir. M. Gil, A. Vilain et P. Charron), Turnhout, Brepols, 2016, p. 249-260.
4Panofsky E. et Saxl F., « Classical Mythology …, p. 258.
5Seznec J., La survivance…, p. 49-100.
6Linda Ersham Voigts a étudié les dieux des herbiers dans le contexte Anglo-saxon, Voigts L. E., « One Anglo-saxon view of the classical gods », in Studies in Iconography, 3, 1977, p. 3-16.
7Il est possible que ce tableau soit enrichi à l’avenir par la découverte d’autres représentations.
8Voigts L. E., « One Anglo-saxon view…, p. 3-16.
9Sur les sectes médicales, voir Gourevitch D., « Les voies de la connaissance : la médecine dans le monde romain », dans Histoire de la pensée médicale en Occident, t. I. Antiquité et Moyen Âge (dir. Grmek M. D.), Paris, Editions du Seuil, 1995, p. 93-122 (Laterza, 1993, traduit de l’italien par Badinet Broso M. L.).
10Isidore de Séville, Etymologies, IV, 3 (12 (éd. et tr. Barney A.S., Lewis W.J, Beach J.A. et Berghof O., Cambridge, Cambridge University Press, 2006, p. 109). L’habitude d’attribuer la fondation de l’art médical à Apollon et à Esculape est ancienne. Le Pseudo Galien, De Galien. Le Médecin. Introduction, I, 1 (éd. et trad. Petit C., C.U.F., 2009, p. 1) l’attribue aussi à Apollon.
11« […] on célèbre Esculape comme le plus ancien maître. C’est pour avoir exercé cette science, quand elle était encore grossière et vulgaire, avec un peu plus d’habileté, que cet auteur fut admis au rang des dieux », Celse, Traité de la médecine, I, (éd. Védrènes A., Paris, Masson, 1876, p. 22).
12Pour des exemples iconographiques de Chiron-précepteur, voir Gisler-Huwiler M., Cheiron, dans Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae, Zürich et München, Artemis & Winkler Verlag t. III (1), 1986, p. 244-245.
13Ovide, Métamorphoses, II, 628-630 (éd. et tr. Lafaye G., C.U.F., t. 1, 2007, p. 58).
14Hésiode, Théogonie, 1000-1002 (éd. Demont P., L.G.F., 1999, p. 62).
15Guillaume-Coirier G., « Chiron Phillyride », in Kernos, 8, 1995, p. 113-122.
16Isidore de Séville, Etymologies, IV, 9, 12 (éd. et tr. Barney A.S., Lewis W.J, Beach J.A. et Berghof O., Cambridge, Cambridge University Press, 2006, p. 114). Sur le lien entre l’anatomie équine et la médecine dans l’Antiquité, voir Gitton-Ripoll V., « Chiron, le cheval-médecin ou pourquoi Hippocrate s’appelle Hippocrate », dans Le médecin initié par l'animal. Animaux et médecine dans l'Antiquité grecque et latine. Actes du colloque international tenu à la Maison de l'Orient et de la Méditerranée-Jean Pouilloux, les 26 et 27 octobre 2006, (dir. Boehm I. et Luccioni P.), Lyon, Maison de l'Orient et de la Méditerranée, 2008, p. 211-234.
17Le ms contient la version alphabétique du traité de Dioscoride (ff. 12v-387r), deux paraphrases des Theriaca (ff. 393r-437r) et des Alexipharmaca (ff. 438-r-459v) de Nicandre de Colophon, le Carmen de viribus herbarum (ff. 398-388), la paraphrase attribuée à Eucténios des Halieutiques d’Oppien de Corycos ; un texte sur la pêche et les créatures marines et une paraphrase de l’Ornithiaca (ff. 474r-485v), voir le fac-similé et le travail de Gerstinger H., Dioscurides. Codex Vindobonensis Med.Gr. 1 der Österreichischen Nationalbibliothek. Kommentarband zu der Faksimileausgabe, Graz, Akademische Druck- u. Verlagsanstalt, 1970 ; voir aussi Hunger H., Katalog der griechischen Handschriften der Österreichischen Nationalbibliothek 2: Codices juridici, codices medici, Vienne, G. Prachner, 1969, p. 37-41 ; Mazal O., Pflanzen, Wurzeln, Säfte, Samen, Antike Heilkunst in Miniaturen des Wiener Dioskurides, Graz, Akademische Druck-u. Verlagsanstalt, 1981; Collins M., Medieval herbals. The illustrative Traditions, Londres, The British Library, 2000, p. 39-50, Bardaud J., « Les Dioscoride « alphabétiques » (à propos du Codex Vindobonensis Med. gr. 1) », in Revue d’histoire de la pharmacie, 302, 1994, p. 321-330.
18Nous ne reprenons pas volontairement la représentation de Thétys-Thalassa du folio 391v car nous estimons qu’elle relève davantage d’une personnification du principe de fécondité de la mer, voir Jentel M.-O., v° Téthys, dans Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae, Zürich et Düsseldorf, Artemis & Winkler Verlag, t. VIII, (1), 1997, p. 1193-1195 et t. VIII (2), pl. 826-827.
19D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia, British Library, Cotton Vitellius C. iii, Copenhagen, Rosenkilde & Bagger, 1998 (Early English Manuscripts in Facsimile, 27), p. 29.
20Greenhill W.A., v° Xenocrates, dans A Dictionary of Greek and Roman Biography and Mythology (dir. Smith W.), New York, I.B. Tauris, t. III, 1867, p. 1294.
21Greenhill W.A., v° Herakleides, dans A Dictionary of Greek and Roman Biography and Mythology (dir. Smith W.), New York, I.B. Tauris, t. II, 1867, p. 390-391.
22Greenhill W.A., Mantias, dans A Dictionary of Greek and Roman Biography and Mythology (dir. Smith W.), New York, I.B. Tauris, t. II, 1867, p. 921.
23Jusqu’au XVIe siècle, ce texte fut attribué à Galien, voir la notice de Caroline Petit dans Ps-Galien, Le Médecin. Introduction (éd. et trad. Petit C., C.U.F., 2009, p. XI).
24Ps-Galien, Le Médecin. Introduction, I, 1 (éd. et trad. Petit C., C.U.F., 2009, p. 2).
25Voigts L.E., « One Anglo-Saxon view…, p. 7.
26Schmitz L., Machaon, dans A Dictionary of Greek and Roman Biography and Mythology (dir. Smith W.), New York, I.B. Tauris, t. II, 1867, p. 885.
27Celse, Traité de la médecine, I, préface (tr. Des Étangs A., Paris, F. Didot frères, fils et Cie, 1859, p. 1).
28Sur la vie et l’œuvre d’Ibn Butlân, voir Elkhadem H., Le Taqwîm al-sihha (Tacuini Sanitatis) d’Ibn Butlân : un traité médical du XIe siècle. Histoire du texte, édition critique, traduction, commentaire, Louvain, A. Peeters, 1990 ; Elkhadem H., « Une nouvelle conception de l’hygiène et de la diététique au XIe siècle, in Technologia, 1982, 5, p. 60-73. Sur le Tacuinum Sanitatis, voir aussi Poirion D. et Thomasset C., L’art de vivre au Moyen Âge. Codex Vindobonensis series Nova 2644, conservé à la Bibliothèque Nationale d’Autriche, Paris, Edition du Félin, 1995, qui reproduit en fac-similé ce manuscrit.
29Opsomer C., L’art de vivre en santé. Images et recettes du Moyen Âge. Le « Tacuinum Sanitatis » (manuscrit 1041) de la Bibliothèque de l'Université de Liège, Liège, Éditions du Perron, 1991, p. 19.
30Nicoud M., Les régimes de santé au Moyen Âge. Naissance et diffusion d’une écriture médicale en Italie et en France (XIIIe- XVe siècle), Rome, Publications de l’École française de Rome, 2007, 2 tomes, p. 481-482 ; Opsomer C., L’art de vivre en santé… p. 19-20.
31Lazaris S., « Le portrait d’auteur dans les manuscrits hippiatriques byzantins », in Ktèma, 34, 2009, p. 311.
32Beccaria A., I codici di medicina del periodo pre-salernitano (secoli IX, X e XI), Rome, Edizioni di Storia e letteratura, 1956, p. 219. Ce manuscrit contient le De herba vettonica liber (f. 2v et 40r-40v), l’Herbarius du Pseudo-Apulée (f.3r-35r), des ajouts à l’Herbarius (f. 35v-37v) ainsi qu’une recette écrite par une main du Xe ou XIe siècle (f.38r) ; sur ce ms, voir également Firpo L., Medicina medievale. Testi dell’Alto Medioevo. Miniature del codice di Kassel. Regole salutari salernitane. Incisioni del “Fasciculo de medicina”. Anatomia di Mondino de’ Liuzzi, Turin, Unione-Tipografico-Editrice Torinese, 1972 ; Grape-Albers H., Spätantike Bilder aus der Welt des Arztes. Medizinische Bilderhandschriften der Spätantike und ihre mittelalterliche Überlieferung, Wiesbaden, Guido Pressler Verlag, 1977, p. 114-118 estime que ce manuscrit serait basé sur un modèle de l’Antiquité.
33Eton, Eton College Library 204, folio 1v.
34Lazaris S., « Le portrait d’auteur… p. 316 explique que le bâton, dans les portraits d’auteurs, constitue depuis l’Antiquité, « l’insigne de celui qui détient l’autorité ».
35Luigi Firpo identifie cependant l’inscription Constantinus Mag[ister]. Firpo L., Medicina medieval… p. 71.
36D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia… p. 29.
37Collins M., Medieval herbals. The illustrative Traditions, Londres, The British Library, 2000, p. 190.
38Isidore de Séville, Etymologies, IV, 3 (éd. et tr. Barney A.S., Lewis W.J, Beach J.A. et Berghof O., Cambridge, Cambridge University Press, 2006, p. 109).
39Il existe un fac-similé de ce manuscrit doté d’une introduction descriptive fort complète, D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia, British Library, Cotton Vitellius C. iii, Copenhagen, Rosenkilde & Bagger, 1998 (Early English Manuscripts in Fac-simile, 27) ; voir également Beccaria A., I codici di medicina…, p. 246-248 ; Ker N.R., Catalogue of manuscripts containing Anglo-Saxon, Oxford, Clarendon Press, 1957, n°219 ; Blunt W. et Raphael S., The illustrated Herbal, Londres, Thames and Hudson, 1979, p. 30-33.
40Pour une édition du texte, voir Van Arsdall A., Medieval Herbal Remedies. The Old English Herbarium and the Anglo-Saxon Medicine, New York, Routledge, 2002.
41La référence à Chiron, Esculape et Achille se retrouve dans d’autres manuscrits sans être forcément accompagnée de représentations de dieux, voir Maggiulli G. et Buffa Giolito F., L’altro Apuleio, Naples, Loffredo editore, p. 19-21 ; concernant l’inscription, voir D’Aronco et Cameron M.L.,, The Old English illustrated pharmacopoeia…, p. 14 et Collins M., Medieval Herbals…, p. 196 et note 207, p. 234.
42Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 22.
43D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia… p. 26 ; Maggiulli G. et Buffa Giolito F., L’altro Apuleio…p. 22.
44D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia… p. 26-27.
45Voigts L.E., « One Anglo-Saxon view… p. 7.
46Loc. cit.
47Linda Ersham Voigts souligne l’influence des représentations de la constellation du centaure de manuscrits anglo-saxon, notamment au niveau de la barbe et de la position des pattes, Ibid, p. 7-9 ; sur le sujet voir Leclercq-Marx J., « Le centaure dans l’art préroman et roman. Sources d’inspiration et modes de transmission », Actes des 38e Journées Romanes de Cuxa Vers et à travers l’art roman : la transmission des modèles artistiques. Abbaye Saint-Michel de Cuxa, juillet 2005, Cahiers de Saint-Michel de Cuxa, 37, 2006, p. 21-30.
48Maria Amalia D’Aronco interprète d’ailleurs ce motif comme étant un gourdin, attribut traditionnel des centaures, D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia… p. 27.
49Loc.cit.
50Grabar A., L’empereur dans l’art Byzantin. Recherches sur l’art officiel de l’empire d’Orient, Paris, Les Belles Lettres, 1936.
51Isidore de Séville, Etymologies, IV, 3 (éd. et tr. Barney A.S., Lewis W.J, Beach J.A. et Berghof O., Cambridge, Cambridge University Press, 2006, p. 109).
52[…] cet attribut d’origine astrale avait perdu son symbolisme solaire pour devenir un simple signe d’élévation et d’autorité, fréquemment associé aux dieux et aux héros, de même qu’aux empereurs. Il apparaît même que certains artistes avaient fini par ne plus voir en lui qu’un « motif ornemental séduisant », avant que le christianisme ne le charge d’un nouveau sens », Leclercq-Marx J., « La représentation des dieux du panthéon romain…, p. 251.
53Sur l’iconographie d’Apollon au Moyen Âge, voir Freund L., Apollo, dans Realexicon zur Deutschen Kunstgeschichte (dir. Schmitt O.), Stuttgart, J.B. Metzlersche Verlagsbuchhandlung, t.1, 1937, col. 801- 810; voir également Graf F., Apollo, New York, Routledge, 2009 dont le chapitre 4 (p. 79-102) est consacré à la dimension médicale d’Apollon.
54Collins M., Medieval herbals… p. 190.
55Loc. cit.
56Loc. cit.; sur les représentations de Majestas Domini, voir Poilpré A.O., Majestas Domini: une image de l’Eglise en Occident (Ve-IXe siècle), Paris, Les Editions du Cerf, 2005.
57D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia… p. 29.
58Sur le Christ médecin, voir Von Erfa H.M., Christus als Arzt, dans Realexicon zur Deutschen Kunstgeschichte (dir. Schmitt O.), Stuttgart, J.B. Metzlersche Verlagsbuchhandlung, t. 3, 1954, col. 639-644.
59Reprise dans Loc. cit. ; à ce sujet, voir Gerhardt R. E., « Images of the physician as God in Netherlandish art from the 16th to 18th centuries », in Oud Holland, 130, 2017, p. 131-156.
60Voigts L. E., « One Anglo-saxon view… p. 3.
61Maggiulli G. et Buffa Giolito F., L’altro Apuleio… p. 19.
62Sur le sujet, voir entre autre Fabre A.J., « Mythologie et plantes médicinales de l’Antiquité », Histoire des sciences médicales, 37, 2003, p. 65-87 ; Vons J., « Dieux, femmes et « pharmacie » dans la mythologie grecque », in Revue d’histoire de la pharmacie, 332, 2001, p. 501-512.
63Mylène Pradel-Bacquère fournit une traduction et un commentaire extrêmement utile : Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013.
64Linda E. Voigts a émis l’hypothèse que l’Herbarius aurait été attribué à Apuleius Madaurensis en raison de son lien avec le culte d’Esculape, dont nous trouvons des échos dans les incipit de certains manuscrits, Voigts L. E., « The significance of the name Apuleius to the Herbarium Apulei », in Bulletin of the history of medicine, 52, 1978, p. 216.
65La préface de l’Herbarius traduit même une position méfiante vis-à-vis des médecins, voir Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier… p. 24.
66Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier… p. 22-23.
67Le complexe de l’Herbarius correspond à l’association récurrente de certains traités d’auteurs différents fréquemment associés au sein d’un même manuscrit. On parle de complexe de l’Herbarius car l’Herbarius du Pseudo-Apulée en constitue le texte le plus long : Antonii Musae De herba uettonica liber. Pseudo Apulei Herbarius. Anonymi De taxone liber. Sexti Placiti Liber medicinae ex animalibus (éd. Howald E. et Sigerist H. E., Leipzig, Corpus Medicorum Latinorum, 1927). Plus récemment, Mylène Pradel-Bacquère a effectué une nouvelle traduction ainsi qu’un commentaire de l’Herbarius, cf. note 63. Pour un récapitulatif des différentes éditions jusqu’en 1996, voir Maggiulli G. et Buffa Giolito F., L’altro Apuleio… p. 5-7.
68Il s’agit du seul texte complet qu’on lui attribue, bien qu’il n’en soit probablement pas l’auteur réel, voir Unterkircher F., Medicina Antiqua. Codex Vindobonensis 93, Vienna, Österreichische Nationalbibliothek, Londres, Harvey Miller, 1999, p. 16-17 (tr. Reinhild Weiss).
69Herba vettonica, quae prima inventa est ab Aesculapio vel a Cirone centauro, his precibus adesto, Antonius Musa, De herba uettonica liber, 187-188 (éd. Howald E. et Sigerist H. E., Leipzig, Corpus Medicorum Latinorum, p. 11) ; Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier… p. 23.
70Stannard J., « Magiferous Plants and Magic in Medieval Medical Botany », dans Herbs and Herbalism in the Middle Ages and Renaissance (dir. Stannard K.E. et Kay R.), Ashgate, 1999, V, p. 34 (à l’origine publié dans The Maryland Historian and College Park, 1977, p. 33-76).
71Goceva Z., v° Asklepios, dans Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae, Zürich et München, Artemis & Winkler Verlag, t. II (1), 1984, p. 865 ; Voir Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae, Zürich et München, Artemis & Winkler Verlag, t. II (2), pl. 631-669 pour des exemples iconographiques.
72Sous réserve de futures découvertes.
73Le manuscrit est entièrement numérisé sur le site Gallica où se trouve une notice descriptive : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b84262821 ; Voir aussi Collins M., Medieval herbals… p. 184-188.
74Beccaria A., I codici di medicina… p. 143-145.
75Collins M., Medieval herbals… p. 188 ; Vandersall A.L., « The Relationship of Sculptors and Painters in the Court School of Charles the Bald », in Gesta, 15, 1976, p. 201-210.
76Adacher S., « Scriptorium », in KOS, 1, 1984, p. 117; Collins M., Medieval herbals… p. 209-220 et p. 236, note 250 ; Grapes-Albers H., Spätantike Bilder… p. 43 ; Orofino G., « Gli erbari di età sveva », in Schede Medievali, 19, 1990, p. 329-343.
77Voir le fac-similé de ce manuscrit, Unterkircher F., Medicina Antiqua… p. 29-31; voir aussi ; Collins M., Medieval herbals… p. 209-220 et p. 236, note 251 ; Grapes-Albers H., Spätantike Bilder… p. 43 ; Orofino G., « Gli erbari… p. 329, 341-343.
78Collins M., Medieval herbals… p. 219
79Grapes-Albers H., Spätantike Bilder… p. 43.
80Orofino G., « Gli erbari… p. 329, 341-343.
81McEnerney J.I., « Precatio Terrae and Precatio omnium Herbarum », in Rheinisches Museum für Philologie, 126, 1983, p. 175-187.
82Le serpent qui accompagne traditionnellement la personnification de la Terre dériverait d’une confusion médiévale du couple Okéanos/Thétys avec Okéanos/Terra. Le cetus de Thétys aurait été attribué à la Terre sous la forme d’un serpent qui, en raison de son caractère chtonien, s’accorda aisément avec celle-ci, voir Leclercq-Marx J., « De la Terre-Mère à la luxure. A propos de ‘la migration des symboles’ », in Cahiers de civilisation médiévale, 18, 1975, p. 37-43.
83Divers dieux sont mentionnés dans ce manuscrit, bien qu’ils ne soient pas représentés : « Apollo medicus » est mentionné au folio 15r dans une prière destinée à retirer des tumeurs. Il est aussi nommé au folio 39v en lien avec l’herba apollinaris ; Chiron est aussi nommé au folio 45v (centauria minor) par exemple.
84Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 73-74 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 53).
85Sur Artémis et ses représentations, voir Simon E. et Bauchhenss G., v°Artémis, dans Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae, Artemis & Winkler Verlag, Zürich et Düsseldorf, t. II (1), 1984, p. 618-855 ; Ettlinger L., v° Diana von Ephesus, dans Reallexicon zur deutschen Kunstgeschichte (dir. Schmitt O.), Stuttgart, J.B. Metzlersche Verlagsbuchhandlung, t. 3, 1954, col. 1438-1441.
86Apollodore, Bibliothèque, I, 4, 21 (carriere J.-C. et Massonie B., C.U.F., 1991, p. 30).
87Nam has tres artemisias Diana dicitur invenisse et virtutes earum et medicamina Cironi Centauro tradidit qui primum de his herbis medicinam instituit , Ps.-Apulée, Herbarius, XII (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 179).
88Isidore de Séville, Etymologies, XVII, 9, 45 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 2012 (2e tirage), p. 188-189) : Artemisia herba Dianae a gentilibus consecrata est, unde et nuncupata: graece enim Diana Artemis dicitur ; Barthélémy l’Anglais, De Proprietatibus Rerum, XVII, XV-XVI (éd. Ventura I., Brepols, Turnhout, 2007, p. 47) : Artemisia est mater herbarum dicta, que quondam fuit a gentilibus Diane, que grece dicitur Arthemis, consecrata, ut dicit Isidorus libri XVII .
89Bien que cela ne soit pas mentionné pour le cas de l’armoise dans l’Herbarius du Pseudo-Apulée, certaines plantes devaient être soigneusement recueillies et déposées dans un linge, voir Delatte A., Herbarius. Recherches sur le cérémonial usité chez les Anciens pour la cueillette des simples et des plantes magiques, Bruxelles, Palais des Académies, 1961 (1936), p. 192-194.
90Les Grecs attribuaient à de nombreuses plantes le nom d’artemisia. Aujourd’hui, cette famille comprend environ deux cents espèces de sorte qu’il serait fort délicat de les identifier avec justesse, voir Ducourthial G., Flore magique et astrologique de l’Antiquité, Paris, Belin, 2003 p. 437-438.
91Van Arsdall A., Medieval Herbal Remedies… p. 153.
92Van Arsdall A., Medieval Herbal Remedies… p. 153.
93Sur les propriétés physico-chimiques des armoises, voir Bruneton J., Pharmacognosie, phytochimie, plantes médicinales, Paris, Lavoisier, 2009 (4e édition), p. 613 (Artemisia vulgaris L. et Artemisia arborescens L. et Artemisia pontica L.).
94artemisia monoclonos, Ps.-Apulée, Herbarius, X, 1-2 (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 174-175) ; cette référence est aussi présente dans la version en vieil anglais : « If someone wants to begin a journey, the person should take some artemisia in hand and keep it with him; then the person won’t feel the hardship of the journey too much. It also expels demonic possession », The Old English Herbarium, 11 (éd. et tr. Van Arsdall A., New York et Londres, Routledge, 2002, p. 152).
95Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 130 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 73-74).
96Ducourthial G., Flore magique… p. 436.
97Ibid, p. 439.
98Daut-Red R., Mond, dans Lexikon der christlichen Ikonographie (dir. Kirschbaum E.), Fribourg-en-Brisgau, Herder, t.3, 1971, col. 279-280.
99L’action emménagogue serait peut-être liée à la présence de thuyone, surtout dans la Tanacetum vulgare L., Vigneau C., Plantes médicinales. Thérapeutique – Toxicité, Masson, Paris, 1985 ; L. Bézanger-Beauquesne, M. Pinkas, M. Torck, Les plantes dans la thérapeutique moderne, Maloine, Paris, 1986 ; voir aussi Bruneton J., Pharmacognosie…, p. 613.
100Helmstaedter G., « Artemisia : an example for pharmabotanical history in medieval treatises on plants», dans Fauna and Flora in the Middle Ages: Studies of the Medieval Environment and its Impact on the Human Mind (éd. Hartmann S.), Frankfurt, Peter Lang, 2007, p. 195-208.
101Premier Mythographe du Vatican, I, 37, 5 et 9 (éd. et tr. Zoretti N. et Berlioz J., C.U.F., 2003, p. 21-24).
102Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier… p. 22-23.
103Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 73-74 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 53).
104Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXVI, 159 (éd. et tr. ANDRE J., C.U.F., 1974, p. 70).
105Barthélémy l’Anglais, De Proprietatibus Rerum, XVII, XV-XVI (éd. Ventura I., Brepols, Turnhout, 2007, p. 47).
106Locheia signifiant « accouchement », ephesia en référence à Ephèse où se trouvait le grand temple d’Artémis, toxitêsia renvoyant à l’arc -toxon-, l’un de ses attributs, ou encore parthenikon rappellant sa virginité, voir Ducourthial G., Flore magique… p. 437.
107Ducourthial G., Flore magique… p. 440.
108Aratos, Phénomènes, v. 634-645 (éd. et tr. Martin J., Florence, La nuova Italia, 1956, p. 177-178) ; sur le signe astrologique du Scorpion, voir Aurigemma L., Le signe zodiacal du scorpion dans les traditions occidentales de l'Antiquité gréco-latine à la Renaissance, Paris, Mouton, 1976.
109Collins M., Medieval herbals… p. 199 ; A Catalogue of the Harleian Manuscripts in the British Museum, Londres, G. Eyre and A. Strahan, t. 3, 1808-12, n° 5294 ; Blunt W. et Raphael S., The illustrated Herbal… p. 33 et 53.
110A Catalogue of the Harleian Manuscripts in the British Museum, 4 vol., Londres, G. Eyre and A. Strahan, t. 2, 1808-1812, no. 1585 ; Blunt W. et Raphael S., The illustrated Herbal… p. 49-55 ; Cahn W., Romanesque Manuscripts: The Twelfth Century, Londres, Harvey Miller, 1996, t. 2, p. 97, 138; Turner D.H., Romanesque Illuminated Manuscripts, Londres, The Trustees of the British Museum, 1966, p. 15 ; Collins M., Medieval herbals… p. 205-207.
111Blunt W. et Raphael S., The illustrated Herbal… p. 49-55 ; Cahn W., Romanesque Manuscripts… t. 2, p. 97, 138 ; Pächt O. et Alexander J. J. G., Illuminated Manuscripts in the Bodleian Library Oxford. British, Irish, and Icelandic Schools, Oxford, Clarendon Press, t. 3, 1973, no. 244.
112Catalogue of Additional Manuscripts: Sloane 1900-1993, Londres, n° 1975, livre non publié, disponible à la British Library, Manuscripts Reading Room ; Blunt W. et Raphael S., The illustrated Herbal… p. 42-43 ; Collins M., Medieval herbals… p. 205-207.
113Unterkircher F., Medicina Antiqua… p. 22.
114Concernant la médecine et les textes médicaux et de botanique dans la monde arabe au Moyen Âge, voir Jacquart D. et Micheau F., La médecine arabe et l’Occident médiéval, Paris, Editions Maisonneuve et Larose, 1990.
115Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 73-74 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 53).
116Gentius, Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 71(éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 52-53) ; Lysimaque, Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 72 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 53) ; Artemisia, Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 73 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 53) 
117Dodoens R., Histoire des plantes : en laquelle est contenue la description entière des herbes, c'est-à-dire leurs espèces, forme, noms, tempérament, vertus & opérations, non seulement de celles qui croissent en ce païs, mais aussi des autres estrangères qui viennent en usage de médecine, de l'impr. de Jean Loë, Anvers, 1557, p. 12.
118Ps.-Apulée, Herbarius, XXXV (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 235) ; l’association de Chiron aux centaurées se retrouve chez Isidore de Séville : « Le nom grec de la centaurée vient du Centaure Chiron qui, dit-on, la découvrit », Etymologies, XVII, 9, 33 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 2012 (2e tirage), p. 180-181) et chez Barthélémy l’Anglais, De Proprietatibus Rerum, XVII, XLVII (éd. Ventura I., Brepols, Turnhout, 2007, p. 80).
119Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier… p. 531.
120Ps.-Apulée, Herbarius, XXXIV, 3-5 (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 232-233).
121Apollodore, Bibliothèques, II, 5, 2 (carriere J.-C. et Massonie B., C.U.F., 1991, p. 67).
122Eratosthène, Catastérismes, dans Les phénomènes d'Aratus de Soles, et de Germanicus César. Avec les Scholies de Théon. Les Catastérismes d'Eratosthène. La Sphère de Léontius ; suivi de La preuve de la juste célébration de Pâques, de fragments divers, et des fastes consulaires de Théon (éd. et tr. Par M. L’abbé Halma, Paris, Merlin, 1821, p. 61) ; concernant cet épisode, voir Brookes I, « The Death of Chiron : Ovid. Fasti. 5.379-414 », in The Classical Quaterly, 44 (2), 1994, p. 444-450.
123Thomson M., Textes grecs inédits relatifs aux plantes, Paris, Les Belles lettres, 1955, p. 80.
124Isidore de Séville, Etymologies, IV, 9, 12 (éd. et tr. Barney A.S., Lewis W.J, Beach J.A. et Berghof O., Cambridge, Cambridge University Press, 2006, p. 114) ; sur la relation entre le cheval et la médecine, voir le très intéressant article Gitton-Ripoll V., « Chiron, le cheval-médecin ou pourquoi Hippocrate s’appelle Hippocrate », Le médecin initié par l'animal. Animaux et médecine dans l'Antiquité grecque et latine. Actes du colloque international tenu à la Maison de l'Orient et de la Méditerranée-Jean Pouilloux, les 26 et 27 octobre 2006, p. 211-234. Rappelons d’ailleurs ici qu’un texte d’hippiatrie du IVème siècle de notre ère se nomme Mulomoedicina Chironis et est attribué au centaure Chiron, voir Mulomedicinia Chironis (éd. Oder E.), Leipzig, Teubner, 1901 ; Herzog R., Restauration et renouveau. La littérature latine de 284 à 374, Paris, Brepols, 1993, t. 5, p. 87-90.
125Ps.-Apulée, Herbarius, XXXV, 2 (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 237).
126Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 142 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 77). Notons au passage la référence aux bêtes de somme.
127Barthélémy l’Anglais, De Proprietatibus Rerum, XVII, XLVII (éd. Ventura I., Brepols, Turnhout, 2007, p. 80).
128Centaurea centaurium L. (Centaurea cyanus L. et Centaurea calcitrapa L.), Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier… p. 531.
129Delfosse M., Drogues végétales et plantes médicinales, Service scientifique de l’Association pharmaceutique belge, Bruxelles, 1998, p. 73 ; Centaurea cyanus L. aurait des vertus anti-inflammatoires, voir Bruneton J., Pharmacognosie… p. 180-182 et 438.
130Les anthocyanosides ont été proposés pour traiter « les troubles circulatoires au niveau de la rétine ou de la choroïdes et pour l’amélioration de la vision crépusculaire : ils augmenteraient la régénération du pourpre rétinien », Bruneton J., Pharmacognosie… p. 429 et 438.
131Apollodore, Bibliothèque, III, 13, 8 (carriere J.-C. et Massonie B., C.U.F., 1991, p. 112).
132Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier… p. 551.
133Maggiulli G. et Buffa Giolito F., L’altro Apuleio… p. 58-65 pour une reproduction du Stemma codicum et un récapitulatif du classement des manuscrits en classes a, b, g.
134Ps.-Apulée, Herbarius, CXXVI, add. Codd. b (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 516).
135Ps.-Apulée, Herbarius, CXVI, add. Codd. bC (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 511).
136D’Aronco M.A. et Cameron M.L., The Old English illustrated pharmacopoeia… p. 26-27.
137Ps.-Apulée, Herbarius, XLVIII (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 271).
138Homère, Odyssée, Chant X, 230-345 (tr. Bérard V., Paris, Librairie Armand Colin, 1996 (1931), p. 260-267).
139Homère, Odyssée, Chant X, 285-290 (tr. Bérard V., Paris, Librairie Armand Colin, 1996 (1931), p. 264).
140Sur la question de l’identification du moly et les différentes interprétations qui ont été données, voir Stannard J., « The Plant called Moly », in Osiris, 14, 1962, p. 254-307 ; Dorie M., « Les plantes magiques de l’Odyssée. Lotos et moly », in Revue d’histoire de la pharmacie, 195, 1967, p. 573-584 ; Amigues S., « Des plantes nommées moly », in Journal des Savants, 1, 1995, p. 3-29.
141Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 26 (éd. et tr. ANDRE J., C.U.F., 1974, p. 36).
142Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 127 (éd. et tr. ANDRE J., C.U.F., 1974, p. 73).
143The Old English Herbarium, 73 (éd. et tr. Van Arsdall A., New York et Londres, Routledge, 2002, p. 181).
144Les ailerons de Mercure ont même parfois été transmis à d’autres personnages dans des représentations médiévales, voir Leclercq-Marx J., « La représentation des dieux du panthéon romain…, p. 255.
145Jennequin-Leroy M., « Le ``portrait´´ d’auteur au Moyen Âge : parcours iconographique à travers les miniatures de quelques manuscrits », in Interférences littéraires, 2, 2009, p. 31.
146Ps.-Apulée, Herbarius, LXXXIX (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013, p. 382).
147Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, XXV, 42-43 (éd. et tr. Andre J., C.U.F., 1974, p. 41-42).
148Sur les propriétés actuellement attribuées à l’Achillée millefeuille, voir Bruneton J., Pharmacognosie… p. 398-399 ; l’usage populaire hémostatique et anti-inflammatoire est attesté, voir Vigneau C., Plantes médicinales. Thérapeutique – Toxicité, Masson, Paris, 1985, p. 113 et Delfosse M., Drogues végétales… p. 321.
149The Old English Herbarium, 90 (éd. et tr. Van Arsdall A., New York et Londres, Routledge, 2002, p. 187).
150Ducourthial G., Flore magique… p. 383.
151Ibid, p. 388.
152Ps.-Apulée, Herbarius, XXII (Pradel-Baquerre M., Ps.-Apulée, Herbier, introduction, traduction et commentaire, Thèse pour obtenir le grade de Docteur en études grecques et latines, Université Paul-Valéry Montpellier III, 2013).
153Lazaris S., « L’llustration des disciplines médicales dans l’Antiquité : hypothèses, enjeux, nouvelles interprétations », dans La collezione di testi chirurgici di niceta. Firenze, Biblioteca Medicea Laurenziana, Plut. 74. 7. Tradizione medica classica a Bisanzio (dir. M. Bernabò), Rome, Edizioni di storia e letteratura, 2010.