C’est au travers de ses nombreux écrits que Pierre Alechinsky nous fait découvrir son amour du pinceau chinois ainsi que la relation particulière qu’il entretient avec l’un d’eux, aux vertus presque magiques, offert par le calligraphe japonais, Shiryu Morita. Outil grâce auquel il abandonnera progressivement la position de peintre escrimeur affrontant la verticalité de la toile pour adopter celle des calligraphes engageant pleinement corps et esprit dans l’acte créateur. Un outil singulier, un ‘Stradivarius’.