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Notes
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Numéro | Note |
1 | J’ai développé ce point pour la fin du XIXe siècle dans un texte à paraître, « Le clair-obscur avec la couleur dans l’impressionnisme et le post-impressionnisme », in La Lumière parle, éd. Cousinié (Frédéric), Presses de l’université de Rouen, sous presse. |
2 | Matisse (Henri), Écrits et propos sur l’art, Paris, Hermann, 1972, p. 204. Pour alléger l’appareil de notes, les références suivantes à cet ouvrage figurent directement dans le texte, précédées de la mention EPA. |
3 | Il a souvent insisté sur ce point. A la question « Mais quelle est au juste votre théorie de l’art ? », il répondait : « Eh bien, prenez cette table, par exemple. Je ne peins pas littéralement cette table, mais l’émotion qu’elle produit en moi » (EPA, p. 47, suite de la note 10). |
4 | Cf. sur ce point mon texte « La sensation visuelle selon Hermann von Helmholtz et sa réception en France », in Lichtenstein (Jacqueline), Maigné (Carole) et Pierre (Arnauld) (éd.), Vers la science de l’art. L’esthétique scientifique en France 1857-1937, Paris, Presses de l’université Paris-Sorbonne, 2013, p. 117‑129. |
5 | « […] le peintre peut, en général, produire pour le spectateur une différence paraissant d’une grandeur égale, malgré les différentes intensités de lumière dans la galerie de tableaux, pourvu qu’il donne à ses couleurs cette proportion dans les clartés que nous voyons dans la réalité » von Helmholtz (Hermann), L’Optique et la peinture, Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts, 1994, p. 42. |
6 | Chevreul (Michel-Eugène), De la loi du contraste simultané des couleurs,… Paris, Pitois-Levrault, 1839. J’ai insisté sur le caractère structural de cette loi dans Roque (Georges), Art et science de la couleur. Chevreul et les peintres de Delacroix à l’abstraction, Éd. revue et augmentée, Paris, Gallimard, coll. « Tel », 2009, p. 117‑133. |
7 | Clerget (C.-E.), « Lettre sur la théorie des couleurs », Bulletin de l’ami des arts, II, 1844, p. 400. |
8 | Il a notamment évoqué les travaux de Chevreul dans un entretien avec Tériade, lorsqu’il lui parlait de la couleur ; cf. EPA, p. 92. Et, dans une publication de 1914, Georges Coquiot dresse un portrait de Matisse citant Chevreul, entre autres sources ; cf. cat. de l’exposition Henri Matisse 1904-1917, Paris, Centre Georges Pompidou, 1993, p. 115. |
9 | Bois (Yve-Alain), « L’aveuglement », dans le cat. de l'exposition Henri Matisse 1904-1947, Paris, Centre Georges Pompidou, 1993, p. 12‑56. |
10 | Alliez (Éric) et Bonne (Jean-Claude), La Pensée-Matisse : portrait de l’artiste en hyperfauve, Paris, Le Passage, 2005. |
11 | Cf. FRIEDMAN (Samantha), « Avant la lettre », dans le cat. de l’exposition Henri Matisse. The Cut-Outs, New York, MoMA, 2014, p. 85-91. |
12 | Chevreul (M.-E.), De la loi du contraste simultané des couleurs..., op. cit., p. 337. |
13 | Duthuit (Georges), Écrits sur Matisse, Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts, 1993, p. 296. |
14 | Henri Matisse, cité dans Spurling (Hilary), Matisse le maître. II. 1909-1954, Paris, Éditions du Seuil, 2009, p. 405. |
15 | Roque (Georges), « Remarques sur l’hédonisme des couleurs et leur autonomie », Techné, 24, 2006, p. 25‑28. |