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Anselm Kiefer
Actualités
21 Décembre 2015
Le Centre Pompidou propose une traversée inédite de l’œuvre d’Anselm Kiefer. Cette rétrospective, la première présentée en France depuis trente ans, invite le visiteur à parcourir une dizaine de salles thématisées retraçant l’ensemble de la carrière de l’artiste allemand, de la fin des années soixante à aujourd’hui.
L’exposition réunit près de cent cinquante œuvres dont une soixantaine de peintures choisies parmi les chefs-d’œuvre incontournables, une installation, un ensemble de vitrines et d’œuvres sur papier ainsi que les premiers livres de l’artiste. Organisée en une suite de salles thématiques correspondant à des espaces/temps spécifiques, l’exposition réunit un ensemble exceptionnel de tableaux les plus emblématiques d’Anselm Kiefer, qui ont émaillé sa carrière : des œuvres comme « Resurrexit » (1973), « Quaternität » (1973), « Varus » (1976), « Margarete » (1981) et « Sulamith » (1983) ou encore « Für Paul Celan : Aschenblume » (2006) sont les tableaux « charnières » des diverses problématiques à l’œuvre : la question de l’histoire allemande, la réactivation de la mémoire, la dialectique de la destruction et de la création, le deuil de la culture yiddish. L’univers plastique d’Anselm Kiefer s’est ensuite ouvert à partir du début des années 90 à d’autres systèmes de pensées telles que la kabbale ou l’alchimie venant enrichir et rediriger les questionnements fondamentaux de l’artiste.
Pour ce projet, l’artiste a produit au cours de l’année 2015, un ensemble d’une quarantaine de « vitrines » sur les thèmes de l’alchimie et de la Kabbale, pour lesquels il est allé puiser dans une « réserve de possibles », un arsenal d’objets en attente de rédemption. Sous verre, ces environnements mettent en jeu l’univers disloqué et saturnien d’un âge industriel révolu : vieilles machines, morceaux de ferrailles rouillées, plantes, photographies, bandes et objets de plomb ; loin des cabinets de curiosité, c’est le mystère de leur présence que l’artiste met en exergue, l’émission d’une lumière de mystère propre à l’alchimie.
L’œuvre d’Anselm Kiefer invite le visiteur, avec une singulière intensité plastique et visuelle, à découvrir des univers poétiques, littéraires et philosophiques variés, de la poésie de Paul Celan, Ingeborg Bachmann ou encore Jean Genet, à la philosophie d’Heidegger, aux traités d’alchimie, aux sciences, à l’ésotérisme, à la pensée hébraïque du Talmud et de la Kabbale.
L’exposition réunit près de cent cinquante œuvres dont une soixantaine de peintures choisies parmi les chefs-d’œuvre incontournables, une installation, un ensemble de vitrines et d’œuvres sur papier ainsi que les premiers livres de l’artiste. Organisée en une suite de salles thématiques correspondant à des espaces/temps spécifiques, l’exposition réunit un ensemble exceptionnel de tableaux les plus emblématiques d’Anselm Kiefer, qui ont émaillé sa carrière : des œuvres comme « Resurrexit » (1973), « Quaternität » (1973), « Varus » (1976), « Margarete » (1981) et « Sulamith » (1983) ou encore « Für Paul Celan : Aschenblume » (2006) sont les tableaux « charnières » des diverses problématiques à l’œuvre : la question de l’histoire allemande, la réactivation de la mémoire, la dialectique de la destruction et de la création, le deuil de la culture yiddish. L’univers plastique d’Anselm Kiefer s’est ensuite ouvert à partir du début des années 90 à d’autres systèmes de pensées telles que la kabbale ou l’alchimie venant enrichir et rediriger les questionnements fondamentaux de l’artiste.
Pour ce projet, l’artiste a produit au cours de l’année 2015, un ensemble d’une quarantaine de « vitrines » sur les thèmes de l’alchimie et de la Kabbale, pour lesquels il est allé puiser dans une « réserve de possibles », un arsenal d’objets en attente de rédemption. Sous verre, ces environnements mettent en jeu l’univers disloqué et saturnien d’un âge industriel révolu : vieilles machines, morceaux de ferrailles rouillées, plantes, photographies, bandes et objets de plomb ; loin des cabinets de curiosité, c’est le mystère de leur présence que l’artiste met en exergue, l’émission d’une lumière de mystère propre à l’alchimie.
L’œuvre d’Anselm Kiefer invite le visiteur, avec une singulière intensité plastique et visuelle, à découvrir des univers poétiques, littéraires et philosophiques variés, de la poésie de Paul Celan, Ingeborg Bachmann ou encore Jean Genet, à la philosophie d’Heidegger, aux traités d’alchimie, aux sciences, à l’ésotérisme, à la pensée hébraïque du Talmud et de la Kabbale.
Informations pratiques
Lieu : Centre Pompidou
19 rue de Beaubourg, 75004 Paris
Dates : Jusqu’au 18 avril 2016
Horaires : Accessible tous les jours sauf le mardi de 11 à 21h00
Lien : www.centrepompidou.fr
19 rue de Beaubourg, 75004 Paris
Dates : Jusqu’au 18 avril 2016
Horaires : Accessible tous les jours sauf le mardi de 11 à 21h00
Lien : www.centrepompidou.fr
Galerie
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